Après trente ans de bons et loyaux services chez Paris Match, Valérie Trierweiler vient d'être remerciée du célèbre magazine français. Cette décision de mettre fin à autant d'années de collaboration a été prise par Hervé Gattegno, directeur général des rédactions de Paris Match et du JDD.
La nouvelle du licenciement de Valérie Trierweiler a fuité mercredi 12 août 2020, lorsqu'une journaliste de La lettre audiovisuelle a partagé l'information sur son compte Twitter. "Valérie Trierweiler débarquée de Paris Match. Selon nos informations, Valérie Trierweiler , 'plume' de longue date de Paris Match, d'abord au service politique puis chargée, les dernières années, d'une rubrique littéraire, vient d'être 'remerciée' par Hervé Gattegno, directeur général des rédactions de Paris Match et du JDD (titres de Lagardère news). Le directeur général entend bien renouveler les figures de la rédaction de l'hebdomadaire, par trop atteintes par l'ancienneté... On s'attend à d'autres départs", avait publié Sandra Muller.
La réaction de Valérie Trierweiler ne s'est pas faite attendre trop longtemps... La journaliste de 55 ans s'est exprimée dans la matinée du jeudi 13 août 2020 sur son compte Twitter, révélant les circonstances dans lesquelles elle a pris connaissance de son licenciement. "J'ai appris en plein coeur de l'été et pendant mes congés de façon extrêmement brutale mon licenciement de Paris Match où je travaillais depuis trente ans. Ce licenciement sans aucun motif valable me laisse en état de choc et de sidération. #parismatch", a écrit l'ancienne première dame, encore très secouée. Suite à cette publication, l'ex-compagne de François Hollande a reçu plusieurs soutiens.
Le licenciement de Valérie Trierweiler intervient dans un contexte très particulier, celui de la crise économique liée à la crise sanitaire. Si Paris Match a continué de bien se vendre durant toute la période du confinement, les recettes publicitaires ont connu une chute vertigineuse, l'hebdomadaire historique bénéficiant notamment de nombreux contrats avec les marques de luxe.
Entrée chez Paris Match en 1989, Valérie Trierweiler avait quitté le service politique en 2012, suite à l'élection de François Hollande au poste de président de la République. Le magazine lui était malgré tout resté fidèle, et l'ancienne première dame avait rejoint les pages Culture, où elle se chargeait notamment de l'actualité littéraire.
Celle qui partage la vie de l'ancien rugbyman Romain Magellan considérait Paris Match comme sa deuxième maison et pour cause, elle y possède de très nombreux souvenirs. Une maison historique également occupée par son ex-mari Denis Trierweiler, avec qui elle a eu son fils Léonard (23 ans).