Il y a ceux qui ont perdu patience pendant le confinement et qui se sont détruit la chevelure en suivant des tutos sur Youtube. Et puis il y a les autres, ceux qui, d'un calme olympien, se sont rendus au salon de coiffure dès la réouverture de nos chaumières, le 11 mai 2020. Valérie Trierweiler, par exemple, fait partie de cette deuxième catégorie.
Le 21 mai, à l'occasion de l'anniversaire d'une amie, l'auteure a partagé une photographie sur laquelle elle apparait dans ses bras – attention les gestes barrières – avec une nouvelle couleur : un sublime blond polaire travaillé au NUMERO8, à Paris. Inspiration Brigitte Macron, peut-être ?
Valérie Trierweiler avait bien besoin de se changer les idées. Le confinement n'a pas été plus facile pour elle que pour un autre. Sur les réseaux sociaux, la journaliste de 55 ans n'hésitait pas à hurler son manque, celui de son grand fils Léonard – né de son mariage passé avec Denis Trierweiler. Alors qu'elle était enfermée dans sa demeure parisienne, son grand enfant de 23 ans était à New York, ville où il est cuisinier pour Le Bernardin. Et il taquinait la planète Instagram en partageant des images de ses petits plats ! "Je suis non seulement privée de mon fils mais aussi de ses créations, répondait alors maman, du vague à l'âme. C'est beau, c'est bon !"
En Amérique, Léonard a trouvé chaussure à son pied et épousé une certaine Jennifer. En France, Valérie Trierweiler nage aussi dans le bonheur. Si elle n'a pas pu serrer son fils dans ses bras depuis ses mois, elle a pu compter sur ceux, puissants, de son ancien rugbyman Romain Magellan. Depuis le mois de février 2018, les deux tourtereaux ne font plus qu'un. Ils se sont rencontrés alors que le Secours populaire – qu'elle soutient – s'alliait à ELA – organisme auprès duquel il s'implique – et ne se sont plus jamais quittés. Espérons que cette nouvelle coiffure a fait sensation à la maison...