Vianney s'emporte en évoquant son amitié supposée avec un homme d'extrême droite : "Ça me regarde !"

Difficile de dire si ces deux-là passeront le réveillon du Nouvel An ensemble. Le nom de Vianney Bureau s'est retrouvé inscrit dans un portrait consacré à l'éditorialiste d'extrême droite, Geoffrey Lejeune, publié très récemment dans les colonnes du journal Le Monde. Depuis, le chanteur de 32 ans est victime de nombreuses critiques... alors qu'il a démenti être très proche du journaliste controversé. Pour affirmer une nouvelle fois son recul, l'artiste a partagé une longue missive, le jeudi 29 juin 2023, sur les réseaux sociaux... qui ne va pas forcément arranger la situation.

Je fustige surtout ce procédé dénonciateur

Il l'a écrit noir sur blanc pour que le message passe une bonne fois pour toute. "En 2018, dans La Même, j'avais déjà dit le fond de ma pensée, a rappelé le compagnon de Catherine Robert. Je démens le caractère 'intime' de cette amitié. Mais je fustige surtout ce procédé dénonciateur, révélateur d'un sectarisme triste et dangereux. Chacun m'intéresse, dans sa différence et sa complexité. Vivre vraiment c'est aimer l'Autre. Je suis un chansonnier libre et vivant, engagé sur des thématiques humaines, mais certainement pas au service d'un spectre politique. Je suis riche d'amitiés diverses, intimes ou non. Et quoiqu'il arrive, ça me regarde. Merci de ne plus me politiser. Et de prôner le mélange plutôt que le repli sur soi."

Il part en vacances dans son chalet des Alpes

Dans le portrait du journal Le Monde, on pouvait lire que Geoffrey Lejeune était intime avec Vianney mais aussi avec l'humoriste Gaspard Proust, "avec qui il part en vacances dans son chalet des Alpes", ainsi qu'avec l'écrivain Michel Houellebecq. Geoffrey Lejeune n'a jamais caché son admiration pour Vianney Bureau. L'ancien journaliste de Valeurs Actuelles avait même utilisé les paroles du titre Pas là pour tacler Jean-Luc Mélenchon ainsi que notre actuel président de la République lors d'un meeting politique. "T'es pas là, Mélenchon, mais t'es où, avait-il entonné. T'es pas là, eh Macron, mais t'es où ?"