Après avoir quitté la Suède pour rejoindre Paris – où elle a partagé un appartement avec celle qui est devenue la First Lady américaine Melania Trump –, Victoria Silvstedt a alors entamé une prolifique carrière de mannequin. Mais, comme c'est malheureusement encore trop souvent le cas, elle n'a pas échappé aux critiques et aux pressions...
Interrogée par Gala, la belle blonde raconte : "Le métier était dur. Les bookers ne se privaient pas de dire devant moi que j'étais trop blonde, que je n'avais pas assez de poitrine – j'ai donc vite eu recours à la chirurgie esthétique – ou, comme j'avais fait de la compétition de ski plus jeune, que j'étais trop musclée. À cet âge [elle avait 17 ans en arrivant en France, NDLR], j'étais fragile, influençable, je n'avais pas confiance en moi, donc je suis tombée dans l'anorexie", confie-t-elle. Et Victoria Silvstedt de raconter que, habitant au 6e étage, elle ne prenait jamais l'ascenseur pour pouvoir brûler des calories !
Aujourd'hui apaisée, bien dans sa peau, la belle confie ne plus se mettre la même pression sur les épaules. "Ce que vous voyez là, c'est ma face glamour. Il y en a une autre que l'on connaît moins. Une Victoria sans make-up ou extension, en jogging, qui fait du sport, parcourt Bloomberg News tous les matins et gagne de l'argent en jouant à la Bourse. Cette face-là m'excite autant que l'autre, mais elle est moins rentable en termes d'image...", a-t-elle ajouté.
Thomas Montet
L'interview de Victoria Silvstedt est à retrouver dans Gala, disponible depuis le 27 juin 2018.