Ce n'est pas à Paris que Laurent Mariotte a passé son week-end. Le présentateur de Petits plats en équilibre (TF1) a en effet souhaité profiter de l'air marin d'une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en Bretagne. Il n'a pas manqué de dévoiler quelques stories le 1er décembre 2024.
Les passionnés de cuisine ne manquent pas de suivre ses aventures. Ainsi, les internautes qui le suivent sur Instagram ont découvert qu'il s'était rendu à Cancale, une régions peuplée de 5 435 habitants. Elle est réputée pour ses huîtres plates sauvages issues de bancs naturels existant en eau profonde et plus récemment pour ses huîtres creuses d'élevage. Ainsi, l'homme de 55 ans est allé rendre visite à des ostréiculteurs comme il l'a dévoilé en story. Il a en effet posté des photos d'un parc d'affinage. "Cancale à fond de cale", peut-on lire en légende.
Laurent Mariotte s'est ensuite rendu à La pointe du Grouin. Un un site d'exception avec une vue imprenable. Et, sans surprise, le papa de Léonard n'a pas manqué de déguster un bon plateau de fruits de mer comme il l'a dévoilé sur son fil d'actualité. "Entorse au poulet du Dimanche ! Excellent plateau de fruits de mer chez @la_mere_champlain #cancale #fruitsdemer #bretagne", peut-on lire en légende de la publication.
Reste à savoir quand Laurent Mariotte fera son retour sur Paris. Rappelons que son quotidien est partagé entre sa ferme et son superbe duplex parisien. Le présentateur de la première chaîne possède en effet la ferme qui se situe le domaine agricole familial près d'Épinal (Vosges). "Enfant, j'emmenais les vaches au champ le soir. Mon père, qui était paysan, est décédé quand j'avais 2 ans. J'ai donc été élevé par ma mère, aide-soignante, mes grands-parents et mes six oncles", s'était-il souvenu auprès du Parisien.
Puis, Laurent Mariotte avait ajouté : "J'ai grandi dans cette ferme, au rythme des saisons et des trois potagers du village. L'un d'eux était absolument magique, il était clos, on avait une clé pour y entrer et c'était un vrai jardin d'Eden du légume. Il y avait des pommes de terre, des salades, des poiriers, de la rhubarbe, du miel... On vivait presque en autarcie, avec juste le boulanger qui passait tous les jours, le boucher deux fois par semaine, et le poissonnier le vendredi. Il y avait même une banque ambulante !"