Depuis 2017, Danielle Moreau est chroniqueuse dans l'émission Touche pas à mon poste, sur C8. Bienveillante et toujours souriante, la journaliste n'hésite jamais à se confier sur sa vie privée quitte à subir régulièrement les moqueries de ses collègues. Invitée à se confier auprès de Jordan de Luxe, celle qui assure vivre sans machine à laver ni four est revenue sur quelques aspects de sa vie privée.
Après avoir évoqué son histoire d'amour avec un homme marié, la journaliste a abordé ses problèmes de poids et d'addiction au sucre, notamment le chocolat qui est sans conteste sa gourmandise préférée. "Votre drogue c'est peut-être le sucre ? Vous en parliez dans diverses émissions. Vous avez une vraie lutte avec le poids", s'est interrogé Jordan de Luxe. Immédiatement, Danielle Moreau a tenu à remettre les pendules à l'heure. "Franchement je pense que je ne mange pas plus que toutes mes copines. Pendant des années, j'ai fait quatre fois une heure et quart de piscine. Je pense qu'il n'y a pas beaucoup de gens qui le font. Franchement je ne bois pas... Donc j'en ai un peu marre de l'idée des gens qui sont en surpoids et qui, forcément, sont des gens qui bouffent des chips sur le canapé toute la journée parce que ça n'est pas vrai !", a-t-elle lâché, lassée des stéréotypes permanents.
J'en souffre quand je veux m'habiller
"J'ai des copines qui mangent des paquets de bonbons entiers et qui ne prennent pas un gramme. Il y a de l'injustice...", a-t-elle ensuite déploré. Si elle veut rester positive et voir la vie du bon côté, Danielle Moreau ne souhaite cependant pas cacher que ses problèmes de poids lui mènent la vie dure. "Honnêtement j'en souffre quand je veux m'habiller et que je veux acheter des habits parce que c'est très compliqué. Où sont les magasins avec des plus de 46 ? Il y en a très peu", a-t-elle lâché avant d'aborder le problème récurrent de la grossophobie. "On en parle très peu. On parle de la diversité à la télévision mais je pense qu'on ne verra jamais une personne en surpoids présenter le 20 heures. Pourquoi ?", s'est-elle questionné pour conclure.