, Jean-Michel Maire a rejoint l'équipe de chroniqueurs de Touche pas à mon poste lancée par Cyril Hanouna à l'époque sur France 4 (en 2012, l'émission a été transférée sur D8, devenue C8 en ). Il est depuis toujours l'un des chroniqueurs les plus emblématiques du programme, même s'il est parfois absent pendant de longs moments autour de la table.
On pourrait donc imaginer qu'entre Jean-Michel Maire et Cyril Hanouna, une amitié profonde se serait installée. Pourtant, à en croire l'ancien correspondant de guerre, une certaine distance reste nécessaire entre eux. "Je ne dirai pas que c'est un ami. Parce qu'un ami pour moi, c'est quelqu'un de très, très proche. On s'appelle tous les jours, on va en vacances ensemble, etc. Pour moi, c'est un patron", a-t-il nuancé auprès de Jordan De Luxe pour son émission Chez Jordan. Et d'ajouter : "Je dirai que c'est un pote".
Néanmoins, Jean-Michel Maire se sent suffisamment proche et à l'aise avec Cyril Hanouna pour lui dire ses quatre vérités, sans craindre ses foudres. "Je m'autorise à lui dire des choses que d'autres, peut-être, n'osent pas lui dire. Si je trouve que dans l'émission, il a été trop dur avec l'un des chroniqueurs. Je me permets de lui dire", a-t-il assuré, s'appuyant sur une anecdote pour étayer ses propos : "Un jour, j'avais même envoyé un texto : 'T'es un vrai connard'. Je le disais sérieusement".
Un message peu sympathique qui n'avait pas franchement ébranlé Cyril Hanouna. "Oui, je suis un connard et j'aime ça", lui avait-il répondu avec "un smiley qui se marre". "On en a parlé après et il m'a dit : 'Jean-Michel, c'est marrant parce que tu es le premier chroniqueur qui est là depuis le temps. Tu es le seul que j'autorise à me parler comme ça, parce que quelqu'un d'autre je péterais un câble'", a-t-il encore rapporté.
La confiance et la communication semblent donc des critères des plus importants pour Jean-Michel Maire, lequel est bien heureux de les reconnaître en Cyril Hanouna, un "patron" qui n'hésite pas à dire quand l'émission "n'a pas été bonne" ni à "engueuler les chroniqueurs" car "ils n'ont pas été bons". "Mais le lendemain, si l'émission marche bien, il dit : 'Bravo, vous avez été bien bien, vous avez rebondi, c'est parfait'. Donc on sait toujours où on en est avec Cyril", a-t-il tenu à souligner.