Justine Rameau, juge d'instruction, et Vanessa Tancelin, commandante du SRPJ de Strasbourg, sont de retour depuis quelques jours sur France 3 avec la diffusion d'une nouvelle saison de Face-à-face (c'est le 3e épisode au programme ce mardi soir). La première, elle est incarnée par l'actrice Claire Borotra, qui s'est révélée auprès du grand public via la saga de l'été de 2003 sur TF1 Le Bleu de l'océan, où elle interprétait l'héroïne, Talia Vargas. La maman d'Alaïs et Arthur, nés en 2001 et 2008 de sa précédente relation avec l'acteur Jérôme Anger, était l'invitée de Nagui dans La bande originale de France Inter, le 26 mars dernier.
Un entretien au cours duquel elle a notamment fait une révélation pour le moins surprenante, au sujet de ses parents. Pour rappel, son père, Franck Borotra, est un ancien député, et ministre dans le gouvernement d'Alain Juppé, sous Jacques Chirac. Ce qui avait alors amené Nagui à lui poser la question suivante : "Quelle est la place de la culture et des arts quand on a une famille plutôt orientée sur la politique ?" Et la réponse était donc inatendue : "Je vais me mettre mon père à dos, coupe la radio s'il te plait ! (rires, ndlr) C'est ma mère. Elle a commencé à travailler à l'âge de 15,16 ans, à l'usine, et c'est la personne la plus cultivée que je connaisse aujourd'hui !"
Un mauvais souvenir, puisqu'on l'avait forcée à continuer à danser alors qu'elle était blessée, et plus largement parce qu'on ne lui a pas demandé si c'est ce qu'elle voulait faire et qu'on lui a très rapidement mis la pression : "J'ai été endoctrinée (...) On m'a pendant 3 mois répétée que je faisais partie de l'élite du monde, que c'était la plus grande école, que c'était formidable, et que c'était une chance inouïe que je sois prise. On vous dit que si vous souffrez, c'est pas grave, si vous avez 40 de fièvre, il faut faire l'exercice 2 fois, comme ça vous le ferez mieux quand vous aurez 37.5..."