Depuis plusieurs jours, Marine Lorphelin a fait son retour à Paris. Miss France 2013 a en effet quitté sa Nouvelle-Calédonie ensoleillée le temps d'accomplir quelques projets professionnels en métropole. L'un de ses engagements consistait notamment à s'entretenir avec Lucile Woodward, une journaliste et professeure de fitness qui a également lancé le podcast Long Live. Et pour son deuxième épisode, elle recevait donc Marine Lorphelin. Les deux femmes ont ensemble parler des moyens pour mieux vieillir et rester en bonne santé, que cela passe par une bonne alimentation et du sport ou par une relation amoureuse apaisée. Sur ce point, la reine de beauté a livré quelques confidences sur son fiancé et les difficultés qu'elle a rencontrées en vivant pour la première fois avec lui.
Marine Lorphelin a également eu l'occasion de partager son point de vue sur la chirurgie esthétique. Une pratique à laquelle elle n'a pas encore succombé mais qu'elle pourrait envisager un jour. "C'est toujours une question qu'on m'a posée. Au début, j'étais un peu anti-chirurgie esthétique. J'ai toujours prôné le naturel et j'ai envie de me montrer tel que je suis, j'essaye de défendre sur les réseaux sociaux le fait de s'assumer, de ne pas trop se cacher derrière des filtres. Donc j'avais tendance à dire 'la chirurgie esthétique, non'. Et maintenant, je suis beaucoup plus ouverte d'esprit et si ça peut faire du bien, aider à s'accepter, s'aimer plus, tant mieux. Aujourd'hui ça existe et c'est accessible à tout le monde, donc tant mieux. Peut-être que j'y aurais recours pour me sentir mieux", a-t-elle avoué.
Il faut que tu commences !
Un chirurgien esthétique semble en revanche penser que la jeune femme de 29 ans ne devrait pas trop tarder à retoucher à son beau visage. "J'avais fait une conférence avec un grand ponte de la chirurgie esthétique, c'était il y a quelques années, je devais avoir 25 ans, et il m'a regardé de près et m'a dit : 'non mais il faut que tu commences ! Il faut commencer jeune à faire des injections, c'est comme ça que tu peux reculer la descente des tissus'", a-t-il conseillé comme elle le rapporte. Et de partager sa réaction : "Et moi je me suis dit : 'mais, il est fou !'"
Finalement, Marine Lorphelin a compris qu'il "existait des techniques très légères, qu'on pouvait faire de la chirurgie esthétique de façon modérée et que ça pouvait être très joli". Affaire à suivre ?