Cette Coupe du monde au Qatar est un véritable rêve éveillé pour tous les supporters de l'équipe de France. Alors qu'elle s'avançait amputée de nombreux titulaires, avec notamment le forfait de dernière minute de sa star Karim Benzema, l'équipe de Didier Deschamps a réussi un parcours formidable pour se hisser en finale. Les Bleus n'ont pas été épargnés par les absences tout au long de la compétition et même pour la demi-finale face au Maroc, Adrien Rabiot et Dayot Upamecano ont tous les deux dû renoncer à cause d'un mystérieux virus qui les a affaiblis. Dans son émission C à vous sur France 5, Anne-Élisabeth Lemoine est revenue sur ce mystérieux mal qui frappe les Français, en compagnie des journalistes sportifs Daniel Riolo et Jean-Philippe Leclaire.
"Un virus rôde à Doha", lance Daniel Riolo d'un air assez inquiétant, ajoutant que Kingsley Coman et un quatrième joueur ont également été touchés par cet inquiétant mal qui frappe les Bleus, à quelques jours de la finale. "D'ici dimanche, ce qu'il ne faut surtout pas, c'est que le virus continue de circuler. Faut pas que ça tombe sur Mbappé ou sur Griezmann", ajoute le compagnon de Géraldine Maillet, ce qui va particulièrement inquiété la journaliste de 52 ans, qui après avoir rappelé que le masque était de nouveau obligatoire en zone mixte finit par lâcher : "Donc c'est un cluster en fait à Doha", rappelant à tous le plateau la crise du Covid qui a mis le monde à l'arrêt pendant de longs mois.
C'est la capacité de Deschamps de transformer des mauvaises nouvelles en très bonnes nouvelles
Une situation forcément problématique pour le staff de l'équipe de France, qui doit certainement tout faire pour éviter de nouvelles contaminations à quelques jours d'affronter la redoutable Argentine de Lionel Messi en finale de cette Coupe du monde si particulière. "Ça y ressemble (à un cluster) et ça peut être un peu inquiétant", ajoute Jean-Philippe Leclaire, avant de rappeler qu'avec Didier Deschamps, chaque problème à sa solution. L'absence de Kingsley Coman face au Maroc a entraîné l'entrée en jeu de Randal Kolo Muani, buteur sur son premier ballon et qui a permis aux Bleus de prendre un avantage décisif. "C'est la capacité de Deschamps de transformer des mauvaises nouvelles en très bonnes nouvelles", conclut-il.