Le 8 juillet 2021 représente sans doute l'un des pires jours de la vie de Guillaume Pley. A cette date-là, un home-jacking a eu lieu à son domicile de Rueil-Malmaison, situé non loin du bois de Saint-Cucufa. La nounou, la femme du présentateur prénommée Agathe et leur fils Côme (né le 12 décembre 2020) ont été agressés au moment des faits. À l'époque, c'est Le Parisien qui annonçait la terrible nouvelle et qui précisait que trois hommes armés avaient profité du moment où la nounou sortait du domicile pour pénétrer dans la maison, la menaçant et la contraignant à rentrer avec eux. "Le préjudice exact n'était pas encore évalué mais se chiffrerait d'ores et déjà à plusieurs dizaines de milliers d'euros", indiquait également le site.
Deux années ont passé depuis et, ce lundi 26 juin 2023, Guillaume Pley est sorti du silence à travers une vidéo postée sur Instagram pour partager les dernières avancées de l'affaire. "Il y a deux ans, on a été victimes, ma femme, mon fils et ma nounou, d'un fait extrêmement grave. D'un home-jacking avec l'usage d'armes à feu sur mon bébé. On n'a pas du tout communiqué mais vous avez été très nombreux à m'envoyer des messages pour savoir comment ça allait, ce qu'il en était advenu à l'époque... Donc je vous en remercie", a-t-il d'abord déclaré. Et pour lui de souligner le travail "incroyable" de la police judiciaire de Nanterre qui les a accompagnés durant toute cette période. Cette dernière a heureusement "réussi à avoir, à attraper" les criminels.
On a été très affectés
"Les auteurs présumés vont être jugés demain et après-demain au tribunal judiciaire de Nanterre. Je ne peux pas en dire plus pour l'instant. En tout cas, je voulais juste vous remercier pour tous vos messages. On a été très affectés, ma femme, mon bébé, ma nounou et moi-même. Et voilà, je vous raconterai d'autres détails quand tout sera terminé", a promis Guillaume Pley en conclusion.
En commentaires de sa publication, les internautes lui ont souhaité beaucoup de courage pour la suite. "De tout coeur avec vous pendant ce procès. En espérant qu'ils soient sévèrement condamnés", "Force à toi et à ta famille", "Que justice soit rendue", "Un soulagement que les coupables soient jugés même si cela n'enlèvera pas le traumatisme que vous avez vécus", peut-on lire entre autres.