Alain Delon© Abaca
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Accusé d'avoir circulé en Suisse avec de fausses plaques d'immatriculation en 2008, l'acteur Alain Delon, 74 ans, a été condamné à 10 000 fr. suisses (6 500 euros) d'amende, mais il ne souhaite pas que l'affaire s'achève comme cela.
En Suisse, les plaques sont attribuées au conducteur et non au véhicule, mais la star aurait fait fabriquer de fausses plaques pour éviter d'avoir à les ôter quand il change de véhicule dans ce pays où il est installé.
A présent, le monstre sacré du cinéma a décidé de découvrir qui sont les personnes à l'origine de la fuite qui a permis à la presse d'obtenir l'ordonnance le condamnant avant qu'il ne l'ait lui-même. Selon le quotidien suisse Le Matin, il a déposé une plainte pour violation du secret de fonction et "espère faire tomber les masques" le 23 avril.
L'avocat de Delon, maître Dominique Warluzel, a réussi à rassembler un juge d'instruction, le secrétaire général du pouvoir judiciaire de Genève, des greffiers, des commis greffiers pour qu'ils comparaissent vendredi prochain devant le Tribunal de police : "Nous ne pouvons pas évoluer dans un système où la presse reçoit les informations avant les parties", indique l'avocat dans des propos rapportés par Le Matin.
"Je ne critique pas le traitement journalistique mais les fuites qui se sont produites. Ceux qui en sont à l'origine sont toutefois mal tombés. Nous avons l'opiniâtreté au combat et les moyens nécessaires pour faire la lumière dans cette affaire", poursuit l'avocat.
En octobre 2008, la Tribune de Genève avait publié l'article dévoilant les accusations de fabrication de fausses plaques. "La star aurait circulé dans ces conditions entre 2002 et 2006 et a été dénoncée par le Service des autos en 2005", rappelle Le Matin. Le procureur avait déclaré l'acteur coupable "d'obtention frauduleuse d'un permis ou d'une autorisation et d'utilisations répétées de plaques de contrôle falsifiées ou contrefaites", mais maître Warluzel clamait de son côté une autre version : "Il n'y a pas eu d'obtention frauduleuse. Il s'agit de vraies fausses plaques, d'une reproduction physique de plaques licitement délivrées."
Voilà un autre combat pour la star qui lutte aussi contre le massacre des phoques. D'autres pays entretiennent toutefois une image bien plus positive de la star comme la Chine. Le comédien est le parrain du pavillon français de l'exposition universelle qui se tiendra du 1er mai au 31 octobre à Pékin.
En Suisse, les plaques sont attribuées au conducteur et non au véhicule, mais la star aurait fait fabriquer de fausses plaques pour éviter d'avoir à les ôter quand il change de véhicule dans ce pays où il est installé.
A présent, le monstre sacré du cinéma a décidé de découvrir qui sont les personnes à l'origine de la fuite qui a permis à la presse d'obtenir l'ordonnance le condamnant avant qu'il ne l'ait lui-même. Selon le quotidien suisse Le Matin, il a déposé une plainte pour violation du secret de fonction et "espère faire tomber les masques" le 23 avril.
L'avocat de Delon, maître Dominique Warluzel, a réussi à rassembler un juge d'instruction, le secrétaire général du pouvoir judiciaire de Genève, des greffiers, des commis greffiers pour qu'ils comparaissent vendredi prochain devant le Tribunal de police : "Nous ne pouvons pas évoluer dans un système où la presse reçoit les informations avant les parties", indique l'avocat dans des propos rapportés par Le Matin.
"Je ne critique pas le traitement journalistique mais les fuites qui se sont produites. Ceux qui en sont à l'origine sont toutefois mal tombés. Nous avons l'opiniâtreté au combat et les moyens nécessaires pour faire la lumière dans cette affaire", poursuit l'avocat.
En octobre 2008, la Tribune de Genève avait publié l'article dévoilant les accusations de fabrication de fausses plaques. "La star aurait circulé dans ces conditions entre 2002 et 2006 et a été dénoncée par le Service des autos en 2005", rappelle Le Matin. Le procureur avait déclaré l'acteur coupable "d'obtention frauduleuse d'un permis ou d'une autorisation et d'utilisations répétées de plaques de contrôle falsifiées ou contrefaites", mais maître Warluzel clamait de son côté une autre version : "Il n'y a pas eu d'obtention frauduleuse. Il s'agit de vraies fausses plaques, d'une reproduction physique de plaques licitement délivrées."
Voilà un autre combat pour la star qui lutte aussi contre le massacre des phoques. D'autres pays entretiennent toutefois une image bien plus positive de la star comme la Chine. Le comédien est le parrain du pavillon français de l'exposition universelle qui se tiendra du 1er mai au 31 octobre à Pékin.