Se marieront, se marieront pas ? Telle est l'incessante question que le monde entier se pose depuis le début de la relation du prince Albert de Monaco et de sa superbe nageuse Charlene Wittstock.
Présents, quatre ans après avoir officialisé à Turin, aux Jeux Olympiques de Vancouver, qui se sont achevés le 28 février dernier, le frère de Caroline et Stéphanie Grimaldi et sa douce Sud-Africaine ont accepté de poser ensemble pour la première fois en privé, pour le magazine Point de Vue. Une décision qui relance les rumeurs selon laquelle leur union pourrait être très prochaine.
Vêtus avec décontraction - pull rouge pour lui, pull beige pour elle - c'est au coin du feu qu'ils se sont exprimés devant les journalistes, après une journée sous la neige. Sur le cliché, Albert, toujours dans la tourmente suite à l'affaire qui l'oppose à son ex-espion (nous en saurons plus à partir du 24 mars prochain), apparaît détendu. Sa fiancée, la mine naturelle et le teint frais, tout autant.
Le souverain a déclaré être comblé d'assister, en sa compagnie, à cet événement sportif de grande ampleur : "A Turin, nous étions déjà ensemble, et j'étais ravi de pouvoir lui faire découvrir les sports d'hiver." Il a ajouté adorer découvrir de nouvelles activités pour "rester en forme et sur la même longueur d'ondes. Charlene est très athlétique et adore la nouveauté."
Celle qui s'appellera peut-être un jour Charlene Grimaldi a également expliqué être enthousiaste à l'idée que la prochaine Coupe du monde de football se déroule dans son pays natal, et vouloir plus que tout que l'Afrique du sud accueille aussi les J.O. dans douze ans.
Alors qu'il avait déclaré en juin dernier au JDD : "Je ne me réveille pas tous les matins avec la pression du mariage et de l'héritier légitime. Cela se fera quand le moment sera venu. Pour l'instant, je n'y suis pas prêt", le prince a continué à entretenir le flou artistique : "Mon mariage ? C'est quelque chose qui est imaginable. Je suis toujours touché que l'on se préoccupe de mon bonheur personnel".
Voilà qui ne nous avance guère, mais relance notre curiosité ! Il est fort, cet Albert !