Le magazine Télé 7 Jours du 21 décembre 2013
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La quarantaine rayonnante, Alexandra Lamy, actuellement en tournée pour la pièce La Vénus au phacochère, a démarré la promotion du film Jamais le premier soir, une comédie romantique dans laquelle elle tient le premier rôle, incarnant une quadra à la recherche du bonheur. Actrice passionnée, maman de Chloé, 16 ans - dont le père est Thomas Jouannet - et officiellement séparée de Jean Dujardin, la star française répand sa joie de vivre à coup d'interview dans Télé 7 Jours et parle de sa nouvelle vie au Royaume-Uni.
L'enthousiasme d'Alexandra Lamy est contagieux, mais d'où vient-il ? "S'il y a bien quelqu'un qui m'a inculté la joie de vivre, c'est mon père. Je crois que c'est l'homme le plus optimiste du monde ? Nous sommes une famille résolument heureuse." Autour d'elle, il y a aussi Mélanie Doutey, qui joue dans le film et qui est sa véritable amie, Christel une amie d'Alès, sa ville natale, qui vit à Hong Kong, Magalie qu'elle connaît depuis l'âge de 3 ans, sa soeur Audrey... Avec elle, elle se sent bien, mais elle parle très peu : "Mes amies me le reprochent parfois." Et si elle admet que les amis se révèlent lorsqu'on va mal, elle ajoute : "Je pense que tu peux aussi les reconnaître quand tu es heureux. Par jalousie, le bonheur fait fuir beaucoup de gens."
Depuis quatre mois, le bonheur d'Alexandra Lamy se conjugue avec l'Angleterre où elle est installée : "Je l'ai fait pour ma fille, parce que je trouve indispensable aujourd'hui de parler l'anglais. Le meilleur moyen d'apprendre une langue, c'est l'école et les copains. Chloé, qui a 16 ans, est dans une école publique anglaise et porte l'uniforme. Elle y est très heureuse." Sa fille sera à l'affiche d'Avis de Mistral avec Jean Reno, mais elle se cherche encore, et une chose est sûre : "Je ne la pistonnerai pas !" Alexandra aime l'anonymat que lui procure l'Angleterre : "Vivre à Londres est très agréable, je peux prendre le bus et le métro. Je progresse en anglais, mais pas du tout à des fins professionnelles. Je n'ai pas ce rêve-là. Pour moi, le boulot est en France. Sauf si Spielberg insiste !" Son ex Jean Dujardin tente lui l'aventure, ayant tourné dans Le Loup de Wall Street de Martin Scorsese et dans The Monuments Men de George Clooney. Leur projet ensemble, Le Camisard, réalisation qu'Alexandra Lamy voulait tourner avec lui n'est pas abandonné, mais elle préfère faire ses débuts avec un film plus modeste et on ne sait pas si The Artist est toujours associé au film.
De lui d'ailleurs, elle ne parlera pas, tout simplement parce que : "Si je fais un métier public, ma vie privée ne l'est pas. Je n'ai pas à la dévoiler. C'est difficile, c'est intime. Avec la tournée, je me suis dit que forcément quelqu'un allait aborder le sujet, eh bien personne ne l'a fait. Les gens ont un grand respect. Je pense qu'on a tout dit . Je me suis rendue compte que si l'on évoque trop sa vie privée, on parle plus du tout de votre boulot." Parlons carrière alors et en interview pour Les Incontournables avec Nikos Aliagas (diffusé sur Europe 1 le 14 décembre), elle dira : "Pendant longtemps, après Un gars, une fille, on m'a mise dans une case. Les réalisateurs ne voulaient pas me rencontrer. C'est très français. François Ozon a été le premier [pour Ricky]." Elle dira au passage : "C'est plus difficile pour un acteur de drame de passer à la comédie..."
Retrouvez l'intégralité des interviews dans le magazine Télé 7 Jours du 21 décembre et sur Europe 1 dans Les Incontournables le samedi 14 décembre
"Jamais le premier soir", en salles le 1er janvier
L'enthousiasme d'Alexandra Lamy est contagieux, mais d'où vient-il ? "S'il y a bien quelqu'un qui m'a inculté la joie de vivre, c'est mon père. Je crois que c'est l'homme le plus optimiste du monde ? Nous sommes une famille résolument heureuse." Autour d'elle, il y a aussi Mélanie Doutey, qui joue dans le film et qui est sa véritable amie, Christel une amie d'Alès, sa ville natale, qui vit à Hong Kong, Magalie qu'elle connaît depuis l'âge de 3 ans, sa soeur Audrey... Avec elle, elle se sent bien, mais elle parle très peu : "Mes amies me le reprochent parfois." Et si elle admet que les amis se révèlent lorsqu'on va mal, elle ajoute : "Je pense que tu peux aussi les reconnaître quand tu es heureux. Par jalousie, le bonheur fait fuir beaucoup de gens."
Depuis quatre mois, le bonheur d'Alexandra Lamy se conjugue avec l'Angleterre où elle est installée : "Je l'ai fait pour ma fille, parce que je trouve indispensable aujourd'hui de parler l'anglais. Le meilleur moyen d'apprendre une langue, c'est l'école et les copains. Chloé, qui a 16 ans, est dans une école publique anglaise et porte l'uniforme. Elle y est très heureuse." Sa fille sera à l'affiche d'Avis de Mistral avec Jean Reno, mais elle se cherche encore, et une chose est sûre : "Je ne la pistonnerai pas !" Alexandra aime l'anonymat que lui procure l'Angleterre : "Vivre à Londres est très agréable, je peux prendre le bus et le métro. Je progresse en anglais, mais pas du tout à des fins professionnelles. Je n'ai pas ce rêve-là. Pour moi, le boulot est en France. Sauf si Spielberg insiste !" Son ex Jean Dujardin tente lui l'aventure, ayant tourné dans Le Loup de Wall Street de Martin Scorsese et dans The Monuments Men de George Clooney. Leur projet ensemble, Le Camisard, réalisation qu'Alexandra Lamy voulait tourner avec lui n'est pas abandonné, mais elle préfère faire ses débuts avec un film plus modeste et on ne sait pas si The Artist est toujours associé au film.
De lui d'ailleurs, elle ne parlera pas, tout simplement parce que : "Si je fais un métier public, ma vie privée ne l'est pas. Je n'ai pas à la dévoiler. C'est difficile, c'est intime. Avec la tournée, je me suis dit que forcément quelqu'un allait aborder le sujet, eh bien personne ne l'a fait. Les gens ont un grand respect. Je pense qu'on a tout dit . Je me suis rendue compte que si l'on évoque trop sa vie privée, on parle plus du tout de votre boulot." Parlons carrière alors et en interview pour Les Incontournables avec Nikos Aliagas (diffusé sur Europe 1 le 14 décembre), elle dira : "Pendant longtemps, après Un gars, une fille, on m'a mise dans une case. Les réalisateurs ne voulaient pas me rencontrer. C'est très français. François Ozon a été le premier [pour Ricky]." Elle dira au passage : "C'est plus difficile pour un acteur de drame de passer à la comédie..."
Retrouvez l'intégralité des interviews dans le magazine Télé 7 Jours du 21 décembre et sur Europe 1 dans Les Incontournables le samedi 14 décembre
"Jamais le premier soir", en salles le 1er janvier