Amal Clooney : La femme de George ne veut plus porter plus sa sublime bague...

La femme de loi Amal Clooney a révélé à des amis, cité par le Daily Mail et le Mirror, qu'elle ne souhaiter plus porter sa bague de fiançailles à 640 000 euros, offerte par George Clooney. Qu'on ne s'inquiète pas, tout va bien au sein du puissant couple, c'est une autre raison que sentimentale qui a entraîné l'avocate spécialisée en droit humanitaire à ne plus la mettre au travail.

Amal Alamuddin-Clooney (37 ans) a décidé de se séparer de sa bague de fiançailles offerte par le héros de Gravity en avril 2014 lorsqu'elle est en fonction car elle trouve son diamant de 7 carats trop voyant lorsqu'elle travaille sur ses dossiers qui concernent le droit humanitaire auprès du cabinet Doughy Street Chambers. Elle serait à la recherche d'un anneau en platinum beaucoup plus simple. Elle estime qu'elle n'est pas très crédible à défendre des cas comme celui de la leader ukrainienne Yulia Tymoshenko ou à collaborer avec le gouvernement grec quand elle brandit une bague énorme qui reflète plus le mode de vie hollywoodien que les valeurs de démocratie et de dignité humaine.

"Amal a dit à ses amis qu'elle voulait une bague moins bling bling lorsqu'elle planche sur des cas très sérieux. Les gens admirent constamment sa bague. Elle l'adore et ne s'en débarrassera pas mais elle veut simplement quelque chose de plus discret pour le bureau", indique un insider au Mirror. Elle aurait été vue chez Cartier d'ailleurs. On imagine que pour les soirées mondaines, ou pour fêter ses anniversaires de mariage - elle a dit oui à George en septembre 2014 à Venise -, elle ne manquera pas de ressortir son diamant.

Amal et George sont occupés aussi par un autre sujet : la rénovation de leur propriété dans le Berkshire en Angleterre, composée de neuf chambres et estimée à 14 millions d'euros. On n'ose pas alors imaginer le prix des travaux de cette demeure qui possède piscine, salle de gym et court de tennis. Tout ça pour le couple et leurs deux chiens, Louie et Millie. Mais à quand des enfants qui courent dans l'immense jardin ?