Des "bêtes de sexe" selon Jeremstar ! Invité à découvrir les nouvelles activités lubriques d'Amandine Pellissard et de son époux Alexandre, le Youtubeur a découvert avec beaucoup d'étonnement le gigantesque attirail d'accessoires coquins que le couple possédait. Accueilli en lingerie fine (qu'il n'a d'ailleurs pas hésité à qualifier de "filet de pêche") par l'ancienne candidate de Familles Nombreuses, la vie en XXL, Jeremstar a ainsi pu apprécier tous les sextoys BDSM des deux amoureux.
Planqués dans le coffre du canapé familial, on découvre ainsi une tonne d'accessoires sado comme un fouet, une tapette, les traditionnelles menottes, une barre d'esclavage, un extenseur intime avec pinces mais aussi une panoplie complète de bondage.
"Chat-bite (son mari Alexandre) aime bien me tenir en laisse aussi" précise Amandine Pellissard avec beaucoup de finesse et d'élégance. Autre accessoire qui semble avoir les faveurs de la jeune femme, l'anneau vibrant pour la verge. "Tu mets ça sur ton zgeg et puis le clito est stimulé" explique le couple à Jeremstar, peu habitué à ce types de sextoys. "On est très BDSM" reconnait (si c'était encore nécéssaire) le couple qui avoue crouler sous les demandes d'internautes désirant des vidéos pornographiques. "Il avait la bite gercée l'autre fois" ajoute la maman de huit enfants, qui semble totalement éreinter son partenaire avec ce très étonnant "nouveau job".
Un nouveau travail lucratif puisque le couple a par ailleurs précisé avoir déjà touché plus de 26 000 euros. "L'abonnement est à 9 euros 99. Il y a des photos coquines, sensuelles. Après nos abonnés peuvent venir en dm demander des médias privés et là on n'a pas de limites. On fait tout ce qu'on nous demande.", avait-elle ensuite expliqué à son ami Jeremstar ajoutant quelques exemples de ses prestations : fellations, sous-vêtements souillés, photos de leurs parties intimes (notamment la "foufoune") et de leurs pieds, vidéos de leurs rapports... Tout est possible sauf la scatophilie et les rapports à plusieurs. "Parce qu'on est très jaloux" précise Amandine Pellissard.