Contrairement à la veille, où il s'était donné la peine d'offrir un peu de suspense au public - dont sa fiancée Jelena Ristic et quelques personnalités, comme Audrey Pulvar -, Novak Djokovic n'a pas traîné sur le court, vendredi 1er novembre 2013 lors de son quart-de-finale au BNP Paribas Masters de Paris-Bercy. S'il a fait l'impasse sur les déguisements en point presse, lui qui, en incorrigible farceur, avait célébré Halloween en Dark Vador lors de l'édition 2012 du tournoi parisien, ce n'était pas pour faire le mariole sur le terrain.
Stanislas Wawrinka, galvanisé par l'assurance de sa première participation au Masters de Londres, avait beau l'attendre de pied ferme, les deux hommes avaient beau avoir un passif en cinq sets cette saison (deux confrontations poussées au maximum à Melbourne et à l'US Open), l'issue a semblé très rapidement écrite, lorsque le Serbe se détachait facilement à 3-0 dans la première manche, intouchable. Finalement victorieux 6-1, 6-4 en un peu plus d'une heure, Novak Djokovic accédait sans problème au dernier carré du tournoi parisien, qu'il n'a plus remporté depuis 2009.
Dans les gradins, vendredi, il n'y avait pas que les chéries des champions - Jelena Ristic, fiancée de Novak Djokovic, Xisca Perello, compagne de Rafael Nadal, et Mirka Vavrinec, femme de Roger Federer, étaient comme toujours présentes pour eux. Un parterre de personnalités était au rendez-vous, à l'approche du dernier carré, pas seulement pour le Djoker, mais aussi pour Rafael Nadal, qui a surclassé le dernier Français Richard Gasquet, Roger Federer, qualifié lui aussi pour les demi-finales après son succès contre Del Potro, ou encore David Ferrer, tenant du titre.
Bientôt un mois après le buzz de la rocambolesque interview, flatteuse pour son époux, qu'elle avait soi-disant accordée à un journaliste espagnol et qu'elle a démentie, Anne Gravoin assistait aux passes d'armes entre cadors du tennis au côté de son mari Manuel Valls, lequel avait à côté de lui le président de la Fédération Jean Gachassin. Le couple était installé un rang devant un autre fameux tandem politico-artistique, puisque la toujours rayonnante Michèle Laroque s'offrait également ce divertissement avec son compagnon François Baroin, eux qui sont déjà des inconditionnels de Roland-Garros. Entre les deux duos, quelques échanges n'ont pas manqué d'avoir lieu, dans le dos d'un Henri Leconte sans sa Florentine et très concentré sur les débats sportifs.
Au nombre des autres couples célèbres, Nolwenn Leroy et le jeune retraité Arnaud Clément, Elodie Frégé et Stanislas Merhar ou encore Sandrine Quétier et son nouvel ami étaient aussi de la partie.