François Berléand et Gérard Jugnot© Abaca
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En 2004, Gérard Jugnot et François Berléand s'affrontaient dans Les Choristes pour l'éducation d'enfants difficiles. En 2010, le duo se reforme pour une nouvelle bataille : il semblerait que l'un des deux soit le père de la même fille. Cette histoire est celle du Père de ma fille, le film du réalisateur Martin Valente, à qui l'on doit déjà Fragile(s) avec Jean-Pierre Darroussin. Ce truculent tandem va se disputer (ou pas) sur fond de comédie, peut-être dans la veine de Trois hommes et un couffin.
Avec ce long métrage, espérons que les Gérard du cinéma - récompenses saluant le pire du cinéma - ne s'acharneront pas une fois de plus sur le sort de ces comédiens. Jugnot avait été nommé pour Rose et noir, sa réalisation qui n'a pas eu de succès critique, ni en salles et a été au final un gros échec financier.
Berléand a quant à lui été cité pour son omniprésence ! Il faut dire que ce comédien, dont la popularité va de pair avec le talent, a toujours un agenda très chargé. Dernièrement vu dans Le Siffleur avec Virginie Efira, il fait partie de l'affiche du Grand Ménage avec Chantal Lauby et de plusieurs téléfilms comme la suite du Gendre idéal avec Frédéric Diefenthal.
Avec ce long métrage, espérons que les Gérard du cinéma - récompenses saluant le pire du cinéma - ne s'acharneront pas une fois de plus sur le sort de ces comédiens. Jugnot avait été nommé pour Rose et noir, sa réalisation qui n'a pas eu de succès critique, ni en salles et a été au final un gros échec financier.
Berléand a quant à lui été cité pour son omniprésence ! Il faut dire que ce comédien, dont la popularité va de pair avec le talent, a toujours un agenda très chargé. Dernièrement vu dans Le Siffleur avec Virginie Efira, il fait partie de l'affiche du Grand Ménage avec Chantal Lauby et de plusieurs téléfilms comme la suite du Gendre idéal avec Frédéric Diefenthal.