Il a tenu à rassurer tout le monde. Victime de home-jacking dans la nuit du mardi 6 au mercredi 7 février 2024, Vladimir Boudnikoff, le compagnon d'Aya Nakamura, a dû être pris en charge par l'hôpital le plus proche, situé à Montreuil - il réside à Rosny-sous-Bois en Seine-Saint-Denis. Sur les réseaux sociaux, le producteur, éditeur et réalisateur a partagé, dès le lendemain, une photographie de lui pour montrer qu'il tenait debout malgré les coups qu'il venait de subir.
"Dieu merci tout va bien, écrit Vladimir Boudnikoff. Quelques points de sutures, quelques agrafes sur le crâne. Mais rien de grave. Ça aurait pu être pire... la tête dure, comme là d'où je viens. Merci pour vos messages." Le partenaire d'Aya Nakamura avait effectivement reçu des coups de crosse au niveau du front. L'un de ses agresseurs aurait perdu le chargeur de son arme à feu en le frappant. Le producteur s'était fait arracher son téléphone et s'était fait voler une sacoche contenant des papiers personnels. Selon les informations du journal Le Parisien, "le préjudice ne dépasserait pas quelques centaines d'euros".
Plus de peur que de mal pour Vladimir Boudnikoff qui était présent à son domicile quand les quatre cambrioleurs sont rentrés, illégalement, par la fenêtre aux alentours de 23h40. Aux dernières nouvelles, personne n'a encore été arrêté dans cette affaire, qui reste "encore nimbée de mystères" selon une source policière du journal Le Parisien. L'enquête a été confiée par le parquet de Bobigny à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis. Un dossier qui s'ajoute à la longue pile de cas de home-jacking, ces cambriolages très violents qui surviennent alors que les propriétaires des lieux sont sur place. La chanteuse Vitaa en avait été victime, avec son mari et ses enfants, en décembre dernier.