Ayem Nour, sa rivalité avec Caroline Receveur : ''Je l'ai recadrée''

On la pensait retenue en Afrique afin de mener des projets humanitaires avec son association A.Y.E.M. (Africa. Youth. Equality. Mwana) loin du petit écran, c'est sur MCM qu'Ayem Nour vient de signer son retour cathodique à l'occasion du 67e Festival de Cannes. Reconvertie en envoyée spéciale de charme pour la chaîne musicale, la jolie brune s'est confiée depuis la Croisette à nos confrères du magazine Public et est revenue sur ce rôle, sur son amoureux et sur ses relations avec l'équipe du Mag' d'NRJ 12.

Concernant sa motivation à accepter ce nouveau défi Cannois, l'ancienne candidate de Secret Story 5 reconvertie dans l'animation a indiqué : "Le concept me plaisait : Montrer les coulisses de Cannes aux gens qui n'ont pas les moyens de venir ici, avec mon oeil (...) La télé ne me manquait pas particulièrement ! J'étais dans mon petit cocon, retirée des médias, à m'occuper de mes projets humanitaires en Afrique".

Une chose est sûre, Ayem n'aurait jamais accepté de revenir sur nos petits écrans si son compagnon ne l'avait pas soutenue dans cette démarche. "C'est quelqu'un de formidable, c'est mon épaule, sans son aval, je ne serais pas venue. Il est sûr de mes sentiments, il sait qu'il n'a aucun souci à se faire, car à mes yeux il n'y en a pas un qui lui arrive à la cheville", a-t-elle affirmé visiblement très amoureuse.

Pour finir, interrogée sur les relations qu'elle entretient désormais avec Matthieu Delormeau et surtout sa remplaçante Caroline Receveur, Ayem n'est pas passée par quatre chemins. "Avec Matthieu on ne s'entendait plus, ça virait régulièrement au conflit, c'est pour ça que je suis partie du Mag. Mais si je le croise dans la rue, ça me fera plaisir, parce qu'au fond c'est quelqu'un que j'aime", a-t-elle commencé avant avant de poursuivre sur la nouvelle co-présentatrice du Mag : "Ça n'a jamais été ma copine, ça a toujours été une relation cordiale jusqu'à ce qu'elle lâche quelques piques dans la presse. Je l'ai recadrée".

Une interview à découvrir en intégralité dans Public, paru vendredi 16 mai.