Barbara Gandolfi, l'ex de Jean-Paul Belmondo: 'Au lit, j'étais un bloc de glace'

Barbara Gandolfi restera longtemps comme la compagne de Jean-Paul Belmondo... Mais pas seulement. La sulfureuse Belge, séparée depuis des mois de l'acteur - leur rupture a été annoncée par l'avocat de Belmondo en octobre 2012 -, continue de faire parler d'elle dans les médias, aussi bien pour ses déboires juridiques que pour sa facilité à déballer son intimité, comme elle l'a une nouvelle fois prouvé en se confiant dans une interview au magazine Nina, supplément de Het Laatste Nieuws...

Elle explique ainsi vouloir changer d'air et déménager en Wallonie. Pour ce faire, elle a mis en vente ses clubs de strip-tease et un bar échangiste pour se concentrer sur ses activités à Dubaï, en Hongrie et en Thaïlande où elle aimerait bien démarrer une nouvelle aventure touristique. Toujours avec son ex-mari Frédéric Vanderwilt, extrêmement présent comme avait pu en faire l'amère constatation Jean-Paul Belmondo : "Mon ex est très présent dans ma vie. Je pense que ça dissuade énormément d'hommes", avance-t-elle pour expliquer ses difficultés dans ses relations. Mais visiblement, cet ex-mari encombrant pour ses prétendants n'explique pas à lui seul les difficultés amoureuses de Barbara Gandolfi. La pourtant très sexy jeune femme de 38 ans reconnaît ne pas éprouver de désir, malgré sa propension à se dévêtir : "Je n'ai de libido qu'aux prémices de mes relations amoureuses. Je n'ai pas besoin d'une relation physique. (...) Ça a été un problème dans mes relations amoureuses précédentes : je n'étais pas active. J'étais un bloc de glace. Mon ex m'appelait même 'grand-mère' au lit", révèle-t-elle.

Et il ne s'agit pas là des seules difficultés de Barbara Gandolfi qui n'en a toujours pas fini avec la justice. Ses finances et celles de son ex-mari intéressent tout particulièrement les enquêteurs... Pour rappel, en septembre 2011, elle était renvoyée devant le tribunal correctionnel par le parquet de Bruges pour détention d'armes prohibées. En juin de cette même année, la sulfureuse brune avait été condamnée à une amende de 27 500 euros en Belgique pour avoir employé du personnel clandestinement. L'année dernière, c'est une enquête pour abus de confiance qui était ouverte contre elle et son ex-mari.