Barbara Gandolfi, sereine dans les gradins du tournoi de Roland-Garros le week-end dernier pour assister à la victoire de Rafael Nadal, fait l'objet, depuis 2007, d'une enquête sur des flux financiers présumés suspects sur les comptes des sociétés détenues par son tandem formé avec son ex-compagnon Frédéric Vanderwilt (père de ses deux fillettes).
Si elle n'avait jusqu'ici été condamnée pour aucun délit, le site 7sur7.be nous apprend que la compagne de Jean-Paul Belmondo - qu'il considère comme la femme qui lui a redonné goût à la vie -, vient d'écoper d'une amende de 27 500 euros, dont les quatre cinquième avec sursis.
Une décision actée par le tribunal du travail de Bruges suite à un contrôle de l'inspection sociale effectué en janvier 2009 dans ses deux discothèques d'Ostende et de Courtrai, prouvant que dix employés travaillaient sans être déclarés. De leurs côtés, les deux gérantes des clubs ont reçu une amende de 11 000 euros, dont les quatre cinquième avec sursis. Le sursis a été prononcé en raison des casiers judiciaires vierges des trois condamnées.
Barbara Gandolfi, à la tête également avec son ancien fiancé d'un club échangiste en Flandre et de sociétés à Dubaï, n'était pas présente à l'audience et était représentée par son avocat.
Aucune information n'a filtrée quant aux autres enquêtes concernant la sulfureuse brune. Souvenez-vous, les forces de l'ordre planchent également sur des affaires de blanchiment d'argent, d'escroquerie, de proxénétisme et d'abus de faiblesse envers le Magnifique.
Alors que la tempête autour de la jolie Belge semblait être apaisée depuis quelques mois, et que Jean-Paul Belmondo se dit plus heureux que jamais à ses côtés (il la défend depuis le début de sa tourmente judiciaire), voilà qui va relancer la polémique... Enfin, relativisons, ce n'est qu'un délit d'employeur vis à vis de l'état, pas une affaire pénale non plus.