Jean-Paul Belmondo et Barbara Gandolfi en mai 2011.© Abaca
Jean-Paul Belmondo a beau s'être séparé d'elle , Barbara Gandolfi n'a pas fini de faire parler d'elle... La nouvelle a fait grand bruit il y a quelques jours, lundi 1er octobre. L'avocat du comédien, Me Michel Godest, a annoncé à l'AFP la rupture de son client et de la sulfureuse Barbara Gandolfi, 37 ans. Et si Le Magnifique est apparu en grande forme à la grande première de la pièce Ma bonne étoile a perdu le nord, prouvant qu'il ne se laisse pas abattre, Barbara, elle, fait à nouveau l'objet de plaintes pour abus de confiance.
En effet, comme le rapporte Le Soir Mag dans son édition de ce mercredi 10 octobre, deux nouvelles plaintes pour abus de confiance ont été déposées en mars 2012 contre Barbara Gandolfi et son ex-époux Frédéric Vanderwilt. L'ex-couple aurait à deux reprises loué des voitures sans jamais payer le leasing, selon une confirmation du parquet de Bruxelles.
Barbara Gandolfi, animatrice sur la chaîne Star TV , qui a assuré avoir rompu avec Jean-Paul Belmondo depuis déjà plusieurs semaines, a fait plus d'une fois parler d'elle dans les médias principalement pour de sombres histoires judiciaires...
Dans cette dernière affaire, qui remonte à 2009, à l'époque Barbara et son époux Frédéric Vanderwilt avaient commandé, via une de leurs sociétés, deux Chrysler 300C mais n'ont pas effectué les paiements du leasing. Mercedes Benz, propriétaire de la marque Chrysler, n'ayant jamais récupéré les voitures, a mis un terme au leasing et a décidé de déposer une plainte pour vol de voitures. Le Soir Mag ajoute : "Mais vu la nature du dossier, les faits sont requalifiés en abus de confiance".
Barbara et son ex-mari sont impliqués dans plus d'une affaire judiciaire. Le parquet enquête en effet depuis 2004 sur les activités financières du couple.
Barbara Gandolfi, qui a fréquenté Jean-Paul Belmondo de 2008 au début du mois d'octobre 2012, a fait fréquemment parler d'elle, que ce soit dans le domaine judiciaire (ses nombreux business intéressent particulièrement la police depuis des années) ou pour son style vestimentaire sulfureux. L'an dernier, en septembre 2011, elle se faisait renvoyer devant le tribunal correctionnel par le parquet de Bruges, pour détention d'armes prohibées. En juin de cette même année, la sulfureuse brune avait été condamnée à une amende de 27 500 euros en Belgique pour avoir employé du personnel clandestinement.
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