Camélia Benattia et son mari Tarek sont toujours sur un petit nuage depuis l'arrivée de leur premier enfant dans leur vie, le 11 novembre 2020. C'est un petit garçon prénommé Liaam qui fait leur bonheur au quotidien à Dubaï, où le cadet de Nabilla et sa belle sont également installés. Et quelques mois seulement après sa naissance, le couple envisage déjà de lui donner un petit frère ou une petite soeur. "Nous sommes en pleine réflexion, on se dit qu'on aimerait cocher toutes les cases, bébé, couches, nourrissons, tout d'un coup parce que je ne me vois pas dans 5 ans refaire la même chose que je suis en train de faire avec Liaam. Du coup, c'est pour bientôt...", a annoncé Camélia sur Snapchat.
La jolie brune de 24 ans est donc loin d'être traumatisée par ses deux premières grossesses. Car oui, avant de tomber enceinte de Liaam, Camélia a vécu un début de grossesse extra-utérine. Un phénomène qu'elle a craint de voir se reproduire en attendant son fils. Et elle n'est pas la seule. En effet, même ses médecins y ont cru, l'incitant même à subir un traitement médical qui aurait pu tuer son bébé. "Il y a trois ans de ça, je suis tombée enceinte sauf que c'était une grossesse extra-utérine et c'est une grossesse qui ne peut pas évoluer, ça fait des hémorragies internes etc... Mon médecin m'avait fait une injection pour faire tomber cet oeuf qui n'allait jamais être un bébé. Quand je suis retombée enceinte de Liaam, j'étais paniquée à l'idée que ce soit encore une grossesse extra-utérine, donc je suis allée en vitesse à l'hôpital", a-t-elle confié.
Et lors de sa visite, ses craintes se sont plus ou moins confirmées car après des examens, son médecin lui a fait comprendre qu'il y avait un problème : à savoir une nouvelle grossesse extra-utérine. "On va vous injecter un produit", lui a-t-on annoncé. "Là je pète un câble dans l'hôpital, ils ne me donnent aucune explication, Tarek n'est même pas au courant que je suis à l'hôpital, donc j'étais super paniquée."
Mais à ce moment-là, Camélia ne s'est heureusement pas résolue à accepter leur diagnostic. "Je ne sais pas pourquoi j'ai eu un pressentiment, j'ai dit que c'était mort pour l'injection et j'ai signé deux papiers, un pour dire que je ne dormirais pas ici et l'autre pour dire que je suis contre le soin. Et avant de partir, j'ai demandé une prise de sang, qu'on ne m'avait pas fait avant. Ils ne savaient plus où se mettre... Moi, j'étais trop contente, j'étais vraiment enceinte, mon bébé était là. C'était Liaam", s'est-elle réjouie pour conclure.