Un temps absente dans le PAF, Maryse Éwanjé-Épée est bel et bien de retour ! Cette dernière s'est longtemps illustrée dans l'univers du sport. Entre 1983 et 2007, elle a même été détentrice du record de saut en hauteur en France. Désormais, l'ex-sportive officie principalement en tant que chroniqueuse à la radio ! Dans le cadre des Championnats du monde d'athlétisme qui s'orchestrent à Budapest du 19 au 27 août 2023, France 3 a donc fait appel à elle en tant que consultante sportive.
"C'était inattendu car j'étais dans une phase où je me demandais si j'allais rester dans les médias ou pas (...). Cela fait six ou sept ans que je n'avais pas fait de télévision et c'est un exercice différent de la radio (...).", a récemment confié Maryse Éwanjé-Épée à Télé Star. Sur Instagram en revanche, Maryse Éwanjé-Épée donne très souvent de ses nouvelles. En 2022, elle révélait justement être devenue pour la toute première fois grand-mère et dévoilait d'adorables clichés du nourrisson lové dans ses bras. Une suite logique pour l'ancienne athlète qui est l'heureuse maman de quatre enfants fruits de son histoire passée avec Marc Maury. Ce dernier est un ancien décathlonien professionnel de talent et joueur de rugby à XV qui a défendu les couleurs du Stade clermontois.
C'est en 1988 qu'ils se sont unis pour le meilleur et le pire. Mais après plusieurs années de mariage et 20 ans de vie commune, le duo s'est séparé en 2007. Marc Maury s'est brillamment reconverti en tant que speaker pour les plus grands événements sportifs, dont Roland-Garros, les matchs de l'équipe de France de rugby ou encore le Grand Prix de France de Formule 1.
Double rupture des aponévroses plantaires
Maryse Éwanjé-Épée a quant à elle vécu des périodes difficiles, notamment l'année dernière lorsqu'une vilaine blessure a eu raison de son moral pendant plusieurs mois. "Au sens propre comme au figuré, je ne tiens pas debout, avec une double rupture des aponévroses plantaires. Je surchauffe, avec une tension de cheval dopé", avait-elle révélé à sa communauté en octobre dernier. Avec sincérité, elle s'était voulue sans filtre sur ses tristes ressentis : "Mon corps a toujours été insupportablement indépendant et quand ma tête va mal, il traduit très précisément en douleurs, en pathologies parfaitement vérifiées par IRM, radios et autres analyses (...). Je sais qu'il traduit juste mon mal être." De très mauvais souvenirs à présent derrière elle...