Christine Bravo : Sa gaffe morbide - mais drôle - face à Jean-Pierre Foucault

Christine Bravo a prouvé une nouvelle fois qu'elle était une très grande gaffeuse. La présentatrice de Sous les jupons de l'Histoire (Chérie 25), qui était jeudi après-midi dans l'émission de radio d'Europe 1 On va s'gêner, au côté de Laurent Ruquier, a fait une bourde face à Jean-Pierre Foucault qui, heureusement, l'a bien prise !

En tant qu'invité mystère, l'animateur, venu faire la promotion de la tournée Sacrée Soirée et de son livre Les voitures des années 1960, devait attendre que les membres de la bande à Ruquier trouvent son identité avant de les rejoindre. Pour ce faire, Christophe Dechavanne, François Renucci, Titoff, Gérard Miller, Christine Bravo et Florian Gazan ont eu comme indice un extrait du titre J'ai bien mangé, j'ai bien bu de Patrick Topaloff, un grand ami du présentateur du concours Miss France.

Une fois arrivé sur le plateau et lors de la rediffusion de la fameuse chanson, Jean-Pierre Foucault s'est empressé d'expliquer : "J'ai démarré avec Patrick Topaloff en 1966 à Monte-Carlo et en 1967 ici dans ce studio à Europe 1." Une information interrompue par Christine Bravo, qui ouvre la bouche plus vite que son ombre. "Vous vous voyez toujours avec Topaloff ?", a-t-elle alors demandé. "Difficilement", a commencé par répondre l'invité avant que Christophe Dechavanne se presse d'expliquer que ce dernier est mort - il est en effet décédé en 2010. Si l'assemblée a ri de la gaffe de Christine Bravo, cette dernière, un peu gênée, s'est alors excusée à sa façon en déclarant : "Mais personne ne me l'a dit !"

Histoire de se moquer un peu plus d'elle, Laurent Ruquier a alors demandé à l'animatrice si elle était également au courant du décès de Sim, survenu en 2009. "Oui, ça je sais", a-t-elle répondu fièrement avant que Christophe Dechavanne ne lui fasse croire, l'espace d'un instant, que ce dernier était vivant.

Elégant et loin de se formaliser, Jean-Pierre Foucault a conclu l'incident avec une phrase assez classe : "Désolé de vous avoir annoncé deux mauvaises nouvelles coup sur coup."

Sarah Rahimipour