Claude François : vue imprenable sur Paris et sans vis-à-vis, sa dernière demeure à vendre pour une coquette somme

Le 11 mars 1978, la France entière apprenait la brutale disparition de Claude François, chanteur populaire aux multiples tubes. L'idole fauchée en pleine gloire à l'âge de 39 ans, s'était accidentellement électrocutée dans sa chic résidence, située au 46 boulevard Exelmans, dans le 16ème arrondissement de Paris. S'il affectionnait tout particulièrement son moulin de Dannemois niché dans l'Essonne, l'interprète de Belles, Belles, Belles semblait également très attaché à son penthouse parisien, dans lequel il avait entrepris d'innombrables travaux. 

Actuellement, cette demeure est à la recherche de nouveaux acquéreurs car elle a été mise à la vente au prix de 950 000 euros. Pour les plus curieux, sa fiche est disponible sur le site de l'agence Architecture de collection. Situé au huitième et dernier étage d'un splendide immeuble de 1961 à l'architecture moderne et sobre, cet appartement dispose d'une vue exceptionnelle sur l'ensemble de la capitale française. L'entrée est d'ailleurs accessible par un ascenseur, suivi d'un escalier intérieur qui mène aux espaces de vie. A noter que ce bien d'exception de 72,36 m² est doté d'une entrée avec penderie et bibliothèque ouvrant sur un joli balcon.

En plus d'une cuisine équipée ouverte de 39m2, cet appartement qui n'a aucun vis-à-vis possède également un second balcon en plus d'une somptueuse pièce dont la vue sur la Tour Eiffel ou même le Sacré Coeur est tout bonnement spectaculaire. Le petit plus de cette propriété qui offre un cadre de vie des plus agréables ?La principale chambre exposée plein sud est dotée d'une salle de bain avec dressing et toilettes séparées. 

La façade de l'immeuble se distingue avant tout par sa trame géométrique régulière et ses fenêtres en bandeaux. La "structure poteaux-poutre qui décloisone les espaces intérieurs" ne laissera certainement pas de marbre les férues d'architecture appréciant l'espace. Quant aux finitions des colonnes du premier étage, elles rappellent incontestablement les tendances des constructions très prisées dans les années 60. Sans surprise, ce site a littéralement gagné en notoriété après l'aménagement de Claude François et davantage après sa mort. Devant l'immeuble, une plaque pour lui rendre hommage a d'ailleurs été installée.