C'est avec un sentiment de trahison qu'Angelina Jolie fait face à la justice. Alors qu'elle se bat pour les droits de sa famille depuis près de cinq ans, la comédienne a du mal à digérer le récent verdict de la cour californienne qui l'oblige à partager la garde de ses enfants avec Brad Pitt. D'autant qu'elle avait fait part de certaines craintes et aurait fourni des preuves du comportement abusif de son ex... visiblement passées sous silence. "Il est regrettable de voir que les équipes de Brad jubilent à l'idée de battre un système mis en place pour protéger les familles et les enfants de problèmes qui pourraient dégrader leur bien-être, regrette une source proche du dossier auprès de Page Six. Il n'y a pas vraiment de quoi se vanter."
Angelina demande juste la sécurité de sa famille
En réalité, Angelina Jolie n'aurait rien contre le fait de partager la garde de Pax, 17 ans, Zahara, 16 ans, Shiloh, 14 ans, Vivienne et Knox, 12 ans - Maddox, étant majeur, n'est plus vraiment concerné par l'histoire. L'actrice de 45 ans souhaiterait juste s'assurer que les enfants ne risquent rien en présence de Brad Pitt, récemment décrit comme "psychologiquement et physiquement abusif" par son fils aîné. "Le coeur de la dispute n'a jamais été d'imposer une séparation, précise cette même source. Angelina demande juste la sécurité de sa famille. Elle n'a jamais demandé à ce que l'on renie la relation que Brad entretient avec le reste du clan."
Pour rappel, John Ouderkirk, le juge en charge de l'affaire, a refusé d'entendre le témoignage des plus jeunes enfants des deux acteurs. Il aurait préféré interroger des professionnels des services à l'enfance et des proches de la famille pendant des heures, malgré les requêtes incessantes d'Angelina Jolie. La comédienne avait déjà demandé à ce que l'homme de loi soit écarté du dossier par soucis d'impartialité, puisqu'il est associé professionnellement à Brad Pitt en dehors de l'affaire. Elle attend désormais une décision de la cour d'appel pour annuler ce premier verdict. "Elle veut combattre ce système qui ne prend pas en compte toutes les problématiques qui pourraient affecter sa famille et toutes autres familles qui sont dans la même situation, conclut-on chez Page Six. Elle travaille dur pour que cela n'arrive plus." Attendons de voir si les enfants auront leur mot à dire...