Une nouvelle vie a commencé pour les Trump ! Une vie de citoyen "normal", dépourvue de privilèges présidentiels, à laquelle s'est parfaitement réaccoutumée Melania. Pendant que son mari Donald prépare un potentiel retour en politique, la très discrète ex-First Lady s'implique dans l'avenir de leur fils Barron. L'adolescent connaît déjà l'université où il poursuivra ses études, un établissement fondé par un ami de son papa, qui fut le théâtre de graves scandales...
L'info a été confirmée par l'école en question ! Barron Trump, le cinquième enfant de Donald Trump et fils unique de Melania Trump, a été inscrit à l'Oxbridge Academy. Le jeune homme de 15 ans intègre la promotion de 2024, année d'obtention de son futur diplôme. L'école est située à West Palm Beach, en Floride, où réside justement Donald Trump et sa famille. Elle a été fondée par le milliardaire William Koch, un généreux donateur des campagnes présidentielles du parti républicain et notamment de Donald Trump.
"Nous avons hâte de l'accueillir dans notre école et notre communauté", a sobrement écrit l'école dans un communiqué court sur la venue de Barron Trump. Le blondinet sera protégé par un petit contingent d'agents des services secrets.
Son inscription dans ce lycée privé surnommé "L'Asile" à 34 800 dollars l'année (près de 30 000 euros) a réveillé les scandales passés de l'Oxbridge Academy, mêlant harcèlement sexuel, pressions et corruption.
Tout a commencé en août 2015, seulement 4 ans après la création de l'école. Ulle Boshko, ex-responsable d'une librairie de l'Oxbridge Academy, attaque en justice le directeur de l'établissement Robert Parsons pour "harcèlement sexuel, environnement de travail hostile et représailles". La plainte avait débouché sur un non-lieu, prononcé au mois d'octobre de la même année.
La plaignante, Ulle Boshko, ne s'est pas arrêtée là. Elle a attaqué l'Oxbridge Academy en 2017, accusant cette fois l'établissement d'avoir fait pression pour déclencher son licenciement. Le fondateur de l'école, William I. Koch, finira par licencier son directeur Robert Parsons.Le directeur sportif et le coach de football de l'établissement ont subi le même sort ; une autre enquête révélée par le New York Times les soupçonnaient de "recevoir des pots-de-vin, de changer des notes, d'effectuer des dépenses excessives et de violer des règles régissant le sport au lycée".