Le 1er mai dernier, Elodie, candidate de Secret Story 8 (TF1), a été agressée en pleine rue. Quelqu'un a en effet tenté de lui tirer dessus avec une arme à feu. Une affaire terrible qui a fait grand bruit. Plus ou moins remise de ses émotions, celle qui avait pour secret "Je suis née sous X" dans la Maison des Secrets a tenu à livrer les détails de l'agression afin, notamment, de faire taire ceux qui pensent que cette histoire n'est qu'un mensonge destiné à faire le buzz.
"Se balader & Se faire agresser coups de jet de ONI a Montauban. Pauvre de lui, une femme qui fait de la télévision ca te dérange ?! Sous prétext que je suis un personnage public je suis une pute ?! #TristeFrance (...) Rectification on m'a tiré déçu avec une fusil à plomb", avait écrit tel quel, la jolie brune sous le choc sur son compte Facebook. Quelques jours plus tard, Elodie Ortisset a décidé d'en dire plus au site TVMag et les détails de la scène font froid dans le dos.
"J'étais sortie pour acheter des cigarettes et, comme tout était fermé, j'avais demandé à un automobiliste s'il pouvait m'en trouver. Je lui avais laissé de l'argent et je l'avais attendue dehors, assise à un arrêt de bus. J'étais au téléphone avec une amie, il était 20h30, et d'un coup, j'ai entendu un impact derrière moi. Je me suis retournée et j'ai vu un grand mec qui s'est mis à m'insulter, me menacer et me dire qu'on ne veut pas de moi ici", se souvient celle qui avait étonné il y a quelques mois en postant sur Instagram un cliché d'elle topless.
Consciente qu'en la partageant sur les réseaux sociaux, son histoire prendrait une ampleur énorme, l'ex-Secrétiste confie regretter la manière dont l'expérience a parfois été relatée. "Certains ont parlé de tentative de meurtre alors qu'on n'en sait rien. Je ne sais pas qui est cet individu ni avec quoi il a tenté de m'atteindre."
Protégée par un Abribus, la starlette agressée avec un pistolet à plomb ou à grenaille selon la police a "seulement" posé une main courante sans porter plainte pour injures et menaces. Elle s'explique : "Parce qu'il faut des preuves concrètes et des témoignages pour que la police accepte d'enregistrer la plainte. Au commissariat, j'étais fatiguée après avoir pleuré toute la nuit. J'ai refait le récit de mon agression mais comme je n'étais pas en mesure d'affirmer à 100% qu'il s'agissait d'un tir avec une arme de poing et comme je n'avais pas identifié l'individu, on m'a fait signer une main courante. On m'a expliqué qu'il n'y aurait donc pas d'enquête, que c'était la loi." Bref, son agresseur court toujours...