![Le prince Felipe d'Espagne et la princesse Mary de Danemark, très amis, ont suivi ensemble la finale du championnat du monde de handball 2013, au Palau Sant Jordi, à Barcelone, le 27 janvier 2013, marquée par la victoire écrasante de l'Espagne contre le Danemark, 35-19.](https://static1.purepeople.com/articles/6/11/44/36/@/1036997-danish-crown-princess-mary-and-crown-580x0-2.jpg)
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Difficile de faire bonne figure après une telle raclée... La princesse Mary de Danemark a pourtant dû faire contre mauvaise fortune bon coeur et se montrer bonne perdante pour sauver ce qui pouvait encore l'être, à l'issue de la finale du championnat du monde de handball dimanche soir.
A ses côtés, le prince héritier Felipe d'Espagne, lui, peinait à réfréner son exaltation. A bon droit : l'équipe nationale venait d'atomiser la sélection danoise (35-19, du jamais vu en finale de mondial), qui partait pourtant légèrement favorite après un parcours sans faute et avec des joueurs-clés tels que l'arrière Mikkel Hansen, récemment acheté à prix d'or par le PSG et désigné meilleur joueur de la quinzaine, et le gardien Niklas Landin et l'ailier Hans Lindberg, tous deux retenus dans l'équipe type de la compétition.
Mais devant le bouillant public ibérique, les Nordiques ont étonnamment bafouillé leur handball (avec un nombre de pertes de balle et un taux d'échec en attaque assez consternants) et échoué à décrocher leur premier sacre mondial, tandis que l'Espagne, en véritable état de grâce à domicile, était d'une facilité surnaturelle, regagnant à la pause les vestiaires à +8 (18-10). Il ne restait plus qu'à ne pas se saborder pour aller décrocher la deuxième couronne mondiale de l'Espagne, après le titre de 2005, dans une ambiance de feu où chaque but était fêté comme s'il était celui de la victoire.
Bonne joueuse, la princesse Mary, venue à Barcelone sans son époux le prince Frederik, a suivi la rencontre depuis la tribune présidentielle, assise au côté du prince Felipe, supporter transi jusqu'au bout, avec qui elle entretient des relations extrêmement amicales et qui est d'ailleurs le parrain de son fils le prince Vincent, 2 ans. Au bord du terrain, on a aussi pu voir Iñaki Urdangarin, épouse de l'infante Cristina, exclu de la famille royale pour ses ennuis judiciaires en cours mais qui semble avoir toujours ses entrées dans le monde du hand, lui l'ancien capitaine de l'équipe nationale, médaillée de bronze olympique (1996-2000).
La soirée aurait pu s'achever de triste manière avec le forfait peu fair-play du sélectionneur danois Ulrik Vilbek pour la conférence de presse d'après-match, qui a envoyé son attaché de presse lire une déclaration, au grand dam de son homologue espagnol Valero Rivera. Heureusement, seule la liesse avait droit de cité au Palau San Jordi, en effervescence lors de la remise des prix.