C'est dans une ambiance érotique et sensuelle que se sont retrouvés Frédérique Bel et Maxime Musqua, l'ancien journaliste du Petit Journal de Yann Barthès.
L'actrice française de 40 ans, inséparable de son petit chien Joca, s'est amusée à découvrir les nombreux gadgets et autres sextoys de la boutique éphémère Amorelie installée à Paris pour quelques jours. Le showroom situé non loin des Halles est ouvert du 11 au 13 juin prochain. Les créateurs de la marque, Lea Sophie Cramer et Stéphane Pollok, étaient présents pour faire essayer vibromasseurs, masques coquins et autres fantaisies exposés lors de l'inauguration.
L'occasion pour l'ancienne star de La Minute blonde de faire oublier quelque peu sa récente prise de position polémique à l'encontre du dernier film de Vincent Cassel et François Cluzet. La comédienne a regretté que l'affiche d'Un moment d'égarement mette en avant les noms des acteurs principaux sans indiquer ceux des actrices qui les accompagnent. Un coup de gueule largement relayé dans les médias et qui a aussi reçu l'assentiment des internautes.
Mais l'actrice semble très en colère que ses propos publiés sur Facebook aient été repris par des journalistes qui ont essayé de lui faire dire ce qu'elle n'avait pas dit. Frédérique a donc posté une nouvelle publication sur sa page personnelle adressée à ces mêmes journalistes. "Quelle drôle de société, quand tout le monde se dit 'journaliste' et que leur métier n'est en fait qu'un décorticage malveillant des posts ou tweet drôles ... Sur ce qu'aurait voulu dire tel ou tel artiste... Avec telle photo postée... Sortant des termes disproportionnés pour tenter de buzzer, a-t-elle écrit furieuse. Vous sciez la branche de la liberté d'expression sur laquelle vous êtes vautrés. Je suis témoin de cette dérive antidémocratique sur mes confrères artistes et aussi sur mes réseaux. Je suis navrée par votre misère mentale."
Un message pour le moins virulent qui ne devrait pas apaiser les tensions...
Coline Chavaroche