Près d'un mois après la disparition brutale de George Michael, mort le 25 décembre dernier à l'âge de 53 ans, un supposé ex-amant du chanteur britannique s'est exprimé ce 21 janvier auprès du tabloïd The Sun pour évoquer leur idylle cachée.
Paul Stag, un escort de 48 ans, prétend avoir entretenu une relation par intermittence avec l'interprète de Freedom pendant neuf longues années, entre 2004 et 2013. Selon ses déclarations, il aurait régulièrement fourni George Michael en diverses drogues, notamment en GHB, aussi appelée la "drogue du violeur". Pour appuyer ses déclarations, celui qui est à la tête de trois studios pornographiques a également révélé plusieurs SMS échangés avec la défunte star.
Les drogues et le sexe n'allaient pas l'un sans l'autre
D'après lui, l'artiste anglais consommait régulièrement ce psychotrope qu'il appelle "Liquid G". Il en est persuadé, c'est le GHB qui a tué George Michael. Pour rappel, les causes du décès du chanteur n'ont toujours pas été révélées, les analyses toxicologiques étant toujours en cours. "George était fou de G. Il adorait ça. (...) Il était incroyablement actif sexuellement et, à ses yeux, les drogues et le sexe n'allaient pas l'un sans l'autre. Je pense qu'il ne séparait pas les deux jusqu'au jour de sa mort", a-t-il déclaré.
Toujours selon lui, George Michael utilisait le mot "champagne" pour se faire livrer cette substance en toute discrétion au cours des neuf années qu'a duré leur relation. Au total, le chanteur aurait fait appel à lui plus de "500 fois", parfois "seulement pour lui livrer les drogues sans avoir de relation sexuelle". Il ajouté qu'il avait une fois reçu 200 livres pour lui envoyer du GHB caché "dans des bouteilles de shampooing". Il admet aussi qu'il ne se souvient pas avoir eu de relations sexuelles avec le chanteur lorsqu'il était sobre. Paul Stag a conclu : "Je me suis dit que si j'arrêtais de le fournir, quelqu'un d'autre le ferait mais qu'il ne serait pas digne de confiance et que ce serait sans sécurité."