Depuis le 17 septembre dernier, le violent clash entre Hapsatou Sy et Eric Zemmour fait couler beaucoup d'encre. Après avoir considéré avoir été "insultée" par l'ancien polémiste d'On n'est pas couché dans Les Terriens du dimanche !, la chroniqueuse de 37 ans a choisi de ne pas participer à la prochaine émission de Thierry Ardisson diffusée sur C8 ce dimanche 23 septembre 2018, d'après les informations de Télé Loisirs.
C'est maintenant au tour de Stéphane Simon, le producteur du programme, de prendre la parole sur le sujet. Celui qui travaille aux côtés de Thierry Ardisson a accepté d'en dire plus sur l'avenir de Hapsatou Sy dans Les Terriens du dimanche à nos confrères du Parisien. "On s'est parlé mercredi, les esprits se sont apaisés. Mais dans les conditions actuelles, on est convenus qu'elle ne revienne pas. On doit se revoir la semaine prochaine pour évoquer la suite", a-t-il déclaré. Reste à savoir si c'est temporaire ou définitif !
Pour rappel, dimanche 16 septembre dernier, Éric Zemmour s'en était pris au prénom de la chroniqueuse, jugeant qu'il n'était pas "assez français" et que sa mère avait eu "tort" de l'avoir appelée ainsi. Plusieurs échanges violents ont été censurés par C8, mais Hapsatou Sy avait pris la décision d'en dévoiler les images et la teneur sur les réseaux sociaux. Éric Zemmour y affirmait que le prénom de Hapsatou Sy était une "insulte pour la France". Très "affectée", la compagne de Vincent Cerutti songe à porter plainte contre l'ancien chroniqueur d'On n'est pas couché et a lancé une pétition pour "interdire de médias les personnes portant des messages d'incitation à la haine", qui a été signée plus de 175 000 fois.
Autre fait, Le Parisien nous informe que le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) a adressé une mise en demeure à la chaîne Paris Première pour des propos tenus par Eric Zemmour dans l'un des numéros de l'émission Zemmour et Naulleau, diffusé en janvier dernier. Il avait "tenu de façon systématique des propos stigmatisants à l'égard des migrants de confession musulmane", estime le Conseil des sages.