"La reine est morte paisiblement à Balmoral cet après-midi. Le Roi et la Reine consort resteront à Balmoral ce soir et retourneront à Londres demain" : les mots étaient aussi solennels que poignants. Le jeudi 8 septembre, après des heures à craindre le pire, le public et la famille royale apprenaient la mort de la reine Elizabeth II à 96 ans. Les membres du clan se sont précipités à son chevet, trop tard. Parmi eux, le prince William et le prince Harry, présent avec Meghan Markle sur le territoire britannique par le plus grand des hasards.
Face au deuil, les rancoeurs et les tensions ont été mises de côté. Pour preuve, deux jours après la mort de la reine, Harry, William, Kate Middleton et Meghan Markle apparaissaient tous les quatre pour admirer les hommages laissés par le public devant les grilles du château de Windsor. Cette réunion, personne ne l'attendait en raison du statut glacial des relations qu'entretiennent désormais les deux frères. Mais par amour pour leur grand-mère adorée, William et Harry ont réussi à mettre leurs désaccords de côté.
Gayle King, animatrice télé et amie de Meghan Markle, a confirmé que cette unité de façade était le fruit de nombreux efforts de la part des deux princes : "Il y a eu des efforts des deux côtés pour faire en sorte que tout se passe bien, a-t-elle déclaré dans l'émission CBS Mornings, dont les propos ont été rapportés par Hello. Toutes les familles traversent des conflits et des crises."
Comme Gayle King le précise, personne ne sait si cette amélioration va s'inscrire dans la durée : "Vont-ils rester proches comme ils l'ont été ou la distance va-t-elle les éloigner de nouveau ? Je n'en ai aucune idée, je n'ai pas d'information là-dessus. Mais une chose est certaine : ça a fait du bien à tout le monde de retrouver le prince Harry auprès des siens."
Un discours que Stéphane Bern doit approuver. A Madame Figaro, le compagnon de Yori Bailleres a rappelé qu'en deux ans, Harry et William ne s'étaient jamais autant côtoyés. Un rapprochement a donc bel et bien eu lieu d'après lui : "C'est un fait. Ils se sont parlés, se sont téléphonés, ils se sont vus, ils avaient 11 jours pour le faire." Espérons que la trêve s'inscrive dans la durée.