Plus que jamais, Hillary Clinton, populaire ex-First Lady passée par les plus hautes fonctions politiques, est la femme à battre aux États-Unis. L'épouse de Bill Clinton est actuellement au coeur de toutes les conversations depuis que le New York Times Magazine lui a dédié une couverture d'un genre particulier. En pleine période de sondages outrageusement flatteurs, la démocrate de 66 ans est annoncée comme future locataire de la Maison Blanche 2016. Toutefois, si l'élue a bien des atouts dans sa manche, sa conduite automobile laisse à désirer...
Lundi 27 janvier 2014, Hillary Clinton était invitée à la conférence National Automobile Dealers Association, à la Nouvelle Orléans, et elle en a profité pour lâcher une confidence surprenante. "J'ai toujours aimé les histoires sur les voitures et les aventures. Et je dois confesser que l'un des regrets de ma vie publique, c'est que ne je peux plus conduire. Mon mari pense que c'est une bénédiction, mais il devrait parler pour lui. En fait, la dernière fois que j'ai conduit, c'était en 1996", a-t-elle révélé. Si elle a été contrainte d'abandonner le volant, c'est à cause de sa position de First Lady durant les deux mandats consécutifs de son époux jusqu'en 2001, puis de son élection comme sénatrice de l'État de New York et son passage dans le gouvernement de Barack Obama au poste clef de secrétaire d'état. "Je me souviens très bien de ma dernière fois, mais à cause des Services secrets, je n'ai pas conduit depuis", a-t-elle dit.
Bill Clinton a également le même regret puisque lors d'une interview avec l'animatrice Ellen DeGeneres, en mai 2012, il avait lui aussi expliqué ne plus pouvoir conduire. Mais, malin, il avait trouvé la feinte. "C'est pour cela qu'à chaque fois que je joue au golf, je les force toujours à me laisser conduire la voiturette", avait-il dit avec humour.
Hillary Clinton, qui n'a pour l'heure pas officiellement annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2016, est la démocrate la mieux placée pour succéder à Barack Obama. Elle vient d'ailleurs de recevoir le soutien du plus puissant super Pac, Priorities USA Action, de gauche, dans la vue de levée des fonds pour sa campagne. En outre, elle a eu les honneurs de la couverture de New York Times Magazine, laquelle a fait grand bruit. Titrée "Planète Hillary", elle représente la star politique en planète au milieu de l'espace et a suscité les mèmes sur le Net à l'instar de Ségolène Royal il y a quelques mois...
Thomas Montet