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Jamel Debbouze est un plaisantin, mais il a du répondant. Venu ce 18 juin faire sur les ondes d'Europe 1 la promotion du film Né quelque part, l'humoriste français a dû revenir sur sa blague concernant Nicolas Sarkozy, qu'il avait surnommé Joe Dalton lors d'une remise de prix à l'Elysée en présence du président de la République François Hollande. L'occasion de dévoiler qu'il a aussi affublé l'actuel chef d'Etat d'un petit nom doux : "Winnie l'ourson".
Durant la cérémonie de remise du prix de l'audace artistique et culturelle le 12 juin dans l'enceinte du palais de l'Elysée, Jamel Debbouze, président du jury, a gratifié l'audience d'un discours dans lequel il clamait qu'il se sentait mieux sous la présidence de François Hollande que sous celle de Joe Dalton, alias Nicolas Sarkozy. Une comparaison qui a dû faire grincer des dents de certains, bien que, sur le moment, l'assistance ait bien ri à sa plaisanterie. Interrogé ensuite par Le Petit Journal, il avouait ne pas être "super fier" de sa sortie qu'il a assuré ne pas avoir préparée.
Interrogé par Europe 1, Jamel Debbouze devait s'attendre à ce qu'on lui demande de revenir sur cette fameuse boutade, et ça n'a pas manqué. Avec le sourire mais un poil agacé, le mari de Mélissa Theuriau répond à Nicolas Poincaré qui lui demande de parler de son fameux discours : "Vous voulez me mettre dans la merde, vous voulez créer le buzz ? Il y avait des enfants en face, c'était plus pour faire une référence enfantine. Ça fait trois ans que j'en parle sur scène de cette manière."
Ouvertement opposé à la politique de Sarkozy - ce qui ne l'empêche toutefois pas de s'asseoir à côté de lui durant les matchs du PSG -, Jamel Debbouze avait appelé à voter François Hollande lors de la dernière campagne présidentielle. Cependant, il est aussi capable de faire preuve d'humour à l'égard du président socialiste. Durant son passage de ce matin sur les ondes, le comédien a précisé sa pensée politique, en déclarant que, selon lui, sous François Hollande, "les immigrés et la banlieue étaient mieux traités par nos hommes politiques, en tout cas dans le vocabulaire", ce qui est "déjà énorme".
Durant la cérémonie de remise du prix de l'audace artistique et culturelle le 12 juin dans l'enceinte du palais de l'Elysée, Jamel Debbouze, président du jury, a gratifié l'audience d'un discours dans lequel il clamait qu'il se sentait mieux sous la présidence de François Hollande que sous celle de Joe Dalton, alias Nicolas Sarkozy. Une comparaison qui a dû faire grincer des dents de certains, bien que, sur le moment, l'assistance ait bien ri à sa plaisanterie. Interrogé ensuite par Le Petit Journal, il avouait ne pas être "super fier" de sa sortie qu'il a assuré ne pas avoir préparée.
Interrogé par Europe 1, Jamel Debbouze devait s'attendre à ce qu'on lui demande de revenir sur cette fameuse boutade, et ça n'a pas manqué. Avec le sourire mais un poil agacé, le mari de Mélissa Theuriau répond à Nicolas Poincaré qui lui demande de parler de son fameux discours : "Vous voulez me mettre dans la merde, vous voulez créer le buzz ? Il y avait des enfants en face, c'était plus pour faire une référence enfantine. Ça fait trois ans que j'en parle sur scène de cette manière."
Ouvertement opposé à la politique de Sarkozy - ce qui ne l'empêche toutefois pas de s'asseoir à côté de lui durant les matchs du PSG -, Jamel Debbouze avait appelé à voter François Hollande lors de la dernière campagne présidentielle. Cependant, il est aussi capable de faire preuve d'humour à l'égard du président socialiste. Durant son passage de ce matin sur les ondes, le comédien a précisé sa pensée politique, en déclarant que, selon lui, sous François Hollande, "les immigrés et la banlieue étaient mieux traités par nos hommes politiques, en tout cas dans le vocabulaire", ce qui est "déjà énorme".