Jessica Thivenin est très en colère et l'a fait savoir dès son réveil, jeudi 29 octobre 2020. La jeune femme a une fois de plus été critiquée sur sa façon de s'occuper de son fils. Elle a donc répondu de façon très directe à ses détracteurs.
La femme de Thilbault Garcia, maman de Maylone (1 an), a révélé hier que son fils était malade (fièvre, nez qui coule...). Le couple s'est donc rendu chez le médecin et a été rassuré. Le soir même, les parents se sont rendus à une pendaison de crémaillère ce qui a visiblement choqué les followers de la star des Marseillais. Ils ont été nombreux à lui reprocher de ne pas être restée avec son fils, chose qu'elle n'a pas supportée.
"Il y en a, j'ai envie de les gifler, de leur mettre des claques, non, des baffettes car c'est encore plus énervant", a-t-elle lâché très agacée. Et d'expliquer : "Alors, sérieusement, hier je suis allée à une pendaison de crémaillère et on me dit : 'Ton fils il est malade et tu vas chez tes collègues.' Alors, déjà ils habitent pas très loin, ensuite, mon fils il dormait. On l'a lavé, on lui a donné à manger et on a tout fait, donner les médicaments, tout ! Après, on l'a couché, il s'est endormi et on est parti. Wahou, c'est un truc de ouf !"
Précisant être rentrée à 2h du matin mais s'être levée à 7h pour s'occuper de son fils, Jessica Thivenin a ensuite raconté qu'elle serait rentrée immédiatement s'il y avait eu un problème : "S'il avait pleuré, s'il avait eu de la fièvre ou qu'il se serait réveillé, en quinze minutes on aurait été à la maison. En plus, il était surveillé par une personne compétente, tout s'est bien passé, il n'a même pas vu qu'on était parti."
Jessica Thivenin a ensuite rappelé, à juste titre, qu'elle sait être présente pour son fils quand il est malade. En effet, elle en a passé des nuits à l'hôpital, à ses côtés. Dès sa naissance d'abord, lorsqu'il a été opéré pour une atrésie de l'oesophage et quelques mois plus tard pour une bronchiolite qui lui a valu dix jours d'hospitalisation. Elle lui a même sauvé la vie en effectuant les gestes qui sauvent. "Les donneurs de leçons, allez vous faire encadrer et que le cadre vous tombe sur la tête. Je sais ce que c'est un enfant malade, je sais ce que c'est quand ça ne va pas car ça n'a pas été pendant des mois et des mois avec mon fils. (...) Donc oui, je me suis permis d'aller chez mon ami ! Les donneurs de leçons allez vraiment mais vraiment vous faire encadrer car je ne peux plus vous blairer", a-t-elle conclu.