Jocelyn Wildenstein, plus connue du grand public sous le sobriquet de "femme-chat" en raison de son visage défiguré par l'abus de chirurgie esthétique (pas moins de 3 millions d'euros dépensés volontairement pour ressembler à un félin !), vient d'être attaquée en justice par le propriétaire d'une demeure qu'elle louait. Ce qu'on lui reproche ? De ne pas avoir payé ses factures et d'avoir saccagé les lieux.
Elle a beau avoir touché une fortune à la mort de son époux le milliardaire Alec Wildenstein, décédé en 2008, cela n'empêche pas Jocelyn Wildenstein (75 ans) d'avoir du mal à s'acquitter de ses factures ! Alors qu'elle louait un chic bungalow de trois chambres à coucher à Beverly Hills pour la somme de 15 000 dollars par mois, elle a récemment décidé de quitter les lieux sans prévenir et de laisser la résidence dans un état déplorable, affirme le propriétaire Arik Chaim, dans la Page Six du New York Post.
C'est auprès de la cour suprême de Manhattan que le propriétaire a déposé sa plainte, réclamant 178 500 dollars. Il fait le calcul suivant : 165 000 dollars de loyers impayés, 12 000 dollars pour les rénovations et 1 500 dollars de frais divers. Petit fait amusant, ce n'est pas la première fois que la femme-chat, qui avait réalisé ses opérations pour plaire à son ex-mari fan de chats, est visée par une plainte pour des problèmes d'argent. En effet, en 2013 elle avait faillie être expulsée du logement qu'elle louait pour un motif similaire.
Thomas Montet