Josiane Balasko le 19 septembre 2013 à Paris lors des funérailles d'Albert Jacquard© Abaca
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Josiane Balasko, connue pour ses convictions qu'elle défend avec énergie et enthousiasme, a tapé du pied aux côtés d'autres artistes et personnalités afin de défendre les Roms. Ainsi, elle a signé une tribune baptisée "Pour la dignité des Roms" alors que la polémique fait rage. Cette déclaration est disponible en intégralité sur le site de l'EGAM, mouvement antiraciste européen. Les réalisateurs Elie Chouraqui - actuellement en tournage pour le film choc sur l'affaire Ilan Halimi - et celui du Concert, Radu Mihaileanu, l'acteur et musicien Yvan Le Bolloc'h et le chanteur-compositeur MC Solaar font également partie des signataires.
Des associations, personnalités et responsables politiques dénoncent les surenchères et les idées reçues sur la question des Roms en France à six mois des élections municipales, qu'elles viennent de la droite ou de la majorité de gauche. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a provoqué un tollé mardi en réaffirmant que les Roms avaient vocation à retourner en Roumanie ou en Bulgarie, jugeant leur mode de vie en confrontation avec celui des Français.
Ces propos ont provoqué des remous au sein même du gouvernement, même si consigne semble avoir été donnée chez les socialistes d'estimer qu'il était dans son rôle de ministre de l'Intérieur. La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a défendu sur ce dossier la politique "portée avec fermeté et humanité par Manuel Valls", en rappelant que "le retour au pays fait partie de la palette des solutions".
Des associations, personnalités et responsables politiques dénoncent les surenchères et les idées reçues sur la question des Roms en France à six mois des élections municipales, qu'elles viennent de la droite ou de la majorité de gauche. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a provoqué un tollé mardi en réaffirmant que les Roms avaient vocation à retourner en Roumanie ou en Bulgarie, jugeant leur mode de vie en confrontation avec celui des Français.
Ces propos ont provoqué des remous au sein même du gouvernement, même si consigne semble avoir été donnée chez les socialistes d'estimer qu'il était dans son rôle de ministre de l'Intérieur. La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a défendu sur ce dossier la politique "portée avec fermeté et humanité par Manuel Valls", en rappelant que "le retour au pays fait partie de la palette des solutions".