
Dimanche 23 février 2024, Michel Drucker sera aux commandes d'un nouveau numéro de Vivement dimanche, sur France 3. Après avoir reçu Jeanfi Janssens ou encore Anne Roumanoff, le présentateur de 82 ans a convié de nouvelles personnalités de marque à venir se confier sur son fameux canapé rouge. On vous dit tout !
Les téléspectateurs de France 3 auront le droit à une émission spéciale le 23 février. Michel Drucker a souhaité consacrer Vivement dimanche à la troupe du Splendid. Ainsi, Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot et Josiane Balasko ont fait le déplacement au studio Rive Gauche. Nul doute que le trio s'est remémoré plusieurs anecdotes qu'ils ont vécues depuis les débuts en 1974. Comme des histoires qu'ils ont vécues lors des tournages des Bronzés par exemple. Bien qu'ils n'étaient pas présents, on imagine que Christian Clavier, Marie-Anne Chazel ou encore Bruno Moynot seront évoqués. Sans oublier le regretté Michel Blanc, qui est décédé le 3 octobre 2024, à l'âge de 72 ans. Une disparition qui a attristé la France entière, à commencer par sa famille et ses proches amis. Ses obsèques se sont déroulées le 10 octobre 2024 à l'église Saint-Eustache dans le 1er arrondissement de Paris.
Les invités de Michel Drucker reverront sans doute des images cultes de leurs aventures avec le Splendid mais aussi, de leurs carrières en solo. Un moment à ne louper. Mais Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot et Josiane Balasko ne seront pas les seuls invités de Vivement dimanche. Le public aura aussi le plaisir de découvrir ou redécouvrir la chanteuse Vernis Rouge (Manon Debs de son vrai nom), l'une des nouvelles voix de la scène musicale francophone. La chanteuse de 25 ans avait fait le buzz dès son audition à l'aveugle de The Voice 2024. Elle avait fait une reprise personnelle de Bande Organisée et sa vidéo avait explosé les compteurs. "J'ai ce nom de scène car c'est lui qui m'a permis de retrouver ma part de féminité. Pendant l'adolescence j'étais un garçon manqué. Peut-être parce que j'étais la seule fille de ma fratrie, et donc quand j'étais plus jeune, je n'avais pas forcément de figure féminine de mon âge à laquelle m'identifier. C'est la musique qui m'a permis de parler de féminité, d'amour et même de sensualité", expliquait-elle dans les colonnes de La Dépêche.