Julianne Moore : problèmes de look et tatouages, que lui arrive-t-il ?

Julianne Moore est partout ! Vue hier, le 8 septembre, dans les rues de New York avec son mari Bart Freundlich, elle a montré ses bras... tatoués ! En effet, l'actrice américaine s'inscrit elle aussi dans la lignée des stars qui ont succombé au phénomène de mode qui perdure à Hollywood : Angelina Jolie et ses mystérieux (et nombreux !) tatouages dédiés essentiellement à ses enfants, Eva Longoria qui a récemment fait effacer la date de son mariage avec Tony Parker sur son poignet, ou encore David Beckham qui arbore un torse et des bras tatoués sur ses muscles luisants.

Julianne Moore a donc deguisé ses avant-bras, à en croire ces clichés. Sur son bras droit, un dragon semble apparaître, tandis que sur le gauche, on peut apercevoir des inscriptions. Peut-être que Miss Freundlich a une passion cachée pour les arts martiaux et les monstres imaginaires... N'oublions pas que ses tatouages peuvent être des provisoires, dessinés pour les besoins d'un film ?

En tout cas, côté look, ce n'est pas vraiment ça : pantalon noir des plus communs et t-shirt gris sans formes. Julianne Moore, chaussée de ses Birkenstock, arpente les rues de NYC incognito. C'est sûr que tatouée et mal fagotée, on risque mal de reconnaître la star de The Hours !

On pouvait aussi la voir à New York le 7 septembre dernier, mais cette fois-ci, sur le tournage du dernier film de Scott McGehee et David Siegel, What Maisie Knew, dans lequel elle partage l'affiche avec Alexander Skarsgård, personnage central de la série True Blood et qui incarne Michael dans Melancholia. Le film de Scott McGehee et David Siegel est une adaptation du roman de Henry James publié en 1897, et retrace l'histoire de la petite Maisie Farange, au coeur du divorce de ses parents, et objet de leur haine.

L'actrice de Crazy, Stupid, Love, qui sortira le 14 septembre prochain, apparaît en effet sur le plateau dans une tenue digne d'une teenager, pantalon léopard et veste camouflage, que l'on ne validera pas. Ressaisis-toi Julianne !