Début juillet dernier, nos confrères du magazine Point de Vue ont consacré un papier sur les intentions du prince William concernant l'avenir de ses trois enfants au sein de la monarchie britannique. À l'époque de la reine Elisabeth II, la monarque pouvait compter sur le soutien de ses proches, notamment, sa soeur, sa mère, ses enfants, mais aussi ses cousins, pour remplir chaque année leur engagements. Alors que les Gloucester et les Kent ont vieilli et se rapprochent respectivement des 80 et 90 ans, leurs enfants n'ont pas pris le relai concernant leurs fonctions officielles et leurs engagements caritatifs. La raison est simple puisque la monarchie souhaite désormais et ce, depuis des années, réduire le nombre de membres actifs du clan Windsor autour de la ligne directe de succession à la couronne.
Pour que George, Charlotte et Louis puissent devenir des membres actifs à leur tour il faudra attendre une quinzaine d'années pour qu'ils commencent à exercer des fonctions officielles. Cela dit, le prince William ne compte par le leur imposer. Afin d'éviter des disputes entre ses enfants comme celle entre lui et son frère le prince Harry, le mari de Kate Middleton entend laisser le choix à la princesse Charlotte et au prince Louis de mener une vie loin des obligations royales s'ils le souhaitent, tout en gardant quand même une place de choix au sein de la famille. De son côté, la princesse de Galles qui combat un cancer depuis plusieurs mois maintenant est du même avis. Elle ne souhaite pas brusquer ses enfants et n'hésite pas à imposer sa façon de faire à la monarchie. Dans le dernier numéro du magazine HELLO!, Robert Jobson, auteur de Catherine: The Princess of Wales a décrit comment Kate Middleton a fait savoir à la reine Elizabeth II, de son vivant, ainsi qu'à son beau-père, le roi Charles III qu'elle irait à son propre rythme. "Avec ses enfants, elle a clairement fait comprendre à la défunte reine et au prince de Galles, devenu désormais roi, qu'elle ne se laisserait pas forcer à faire des choses qu'elle n'a pas forcément envie de faire", a indiqué Robert Jobson à HELLO!.
Et le spécialiste d'ajouter que "Cela demande beaucoup de courage, car vous êtes dans un monde très étranger". "Mais je pense qu'elle se rend compte qu'elle n'a qu'une seule chance. Elle a trois jeunes enfants et ils doivent passer en premier", a-t-il continué d'analyser. Robert Jobson ne s'est pas arrêté là et a indiqué à nos confrères : "C'est une personne qui veut trouver des solutions et s'élever au-dessus du bruit et du drame, et je pense que, compte tenu de ce qu'elle a traversé, on ne veut pas perdre de temps dans le bruit, dans le drame, quand on a quelque chose à voir avec sa santé. (...) Ses enfants sont très, très jeunes. C'est une période qu'elle ne reverra pas". "La différence entre elle et les autres, c'est que dans votre carrière, vous pouvez avoir différentes phases. Alors que sa carrière, elle, va devenir de plus en plus officielle", a-t-il conclu.