Ne cherchez pas le prince William et Kate Middleton, ni à Kensington, ni à Anglesey, où il n'y a pas l'ombre d'un baby bump royal à l'horizon : si la duchesse de Cambridge a connu un début de grossesse compliqué et a désormais passé le quatrième mois, elle est encore autorisée à prendre l'avion et ne s'est pas privée de voler huit heures pour aller se détendre au soleil des Caraïbes !
Comme l'hiver dernier, William et Kate profitent paisiblement de la douceur tropicale et de l'intimité appréciable qu'offre l'île Moustique, micro-paradis où le clan Middleton a ses habitudes. Signe que l'état de forme de madame est au beau fixe. Il y a un peu plus d'un an, c'est là que le jeune couple avait passé ses derniers moments en amoureux avant une longue séparation imposée par le déploiement en mission du fils du prince Charles dans les Malouines, que son épouse avait intensivement mise à profit pour faire ses grands débuts dans la vie royale.
Selon les informations exclusives d'un chroniqueur royal du tabloïd The Sun, le duc et la duchesse de Cambridge sont arrivés ensemble dans l'archipel des Grenadines, où ils occupent sur l'île Moustique, tout près de la résidence de Michael et Carole Middleton, une villa à 19 000 livres (22 000 euros) la semaine qui comporte évidemment tout le luxe opportun : même s'ils aiment cultiver l'image de la simplicité, William et Kate n'ont vraisemblablement rien contre une piscine à débordement se perdant dans le turquoise, une salle de loisirs et un point de vue imprenable sur cette zone du globe paradisiaque.
Le prince William et la duchesse Catherine sont apparemment arrivés récemment puisque la duchesse était surprise à deux reprises fin janvier en train de faire du shopping (de nouvelles tenues légères pour ce départ au soleil ?). Ils ont déjà à leur actif, depuis leur rencontre, au minimum une demi-douzaine de séjours amoureux sur Moustique, un repaire qu'affectionnait également la princesse Margaret, défunte grand-tante du prince, et dont la famille Middleton est notoirement fan, au grand dam des résidents de cette petite île de 500 âmes à l'année, occasionnellement perturbée par des renforts de sécurité pour ses touristes de marque.