De mince à... maigre ? Le mot est lâché. Si le prince William a perdu le sommeil, à l'approche de leur mariage le 29 avril, mademoiselle Kate Middleton, elle, a perdu des kilos en route.
A moins que l'ensemble Amanda Wakeley bleu marine qu'elle arborait splendidement lundi pour son ultime sortie officielle avant les noces, certes fort bien coupé, recèle des vertus magiques d'amincissement de la silhouette, tous les observateurs ont été unanimes lorsqu'il s'est agi de constater que la future princesse Catherine, déjà fort joliment mince de nature, avait fondu. Une légère perte de poids, qui se traduit également dans les traits de son visage (les pommettes légèrement plus saillantes sur des joues un peu mois rebondies, la mâchoire un tout petit peu plus émaciée), imputable au stress généré par la perspective du mariage, mais également au régime cigarettes (pas conseillé !) qui a fonctionné par le passé et ferait à nouveau effet : un petit vice auquel la demoiselle se laisserait aller en toute discrétion ! La cigarette, qui lui avait fait perdre pas mal de poids en 2007, notamment au moment de sa rupture printanière avec le prince William, elle l'avait abandonnée en retrouvant l'élu de son coeur, pas franchement fan de cette addiction.
Qu'on ne se méprenne pas : avec sa silhouette longiligne et bien proportionnée, un petit m75 généreux en jambes (profil qui, outre-Manche, est souvent rapproché de celui de la regrettée Diana) qui sied à merveille aux mini-robes et mini-shorts très au goût de l'intéressée, et qu'elle aime également à valoriser avec des jupes ajustées et des vestes cintrées ou ceinturées s'évasant à la taille ainsi que des manteaux longs, Kate Middleton n'a jamais été "forte". Mais le fait est que, après sa légère fonte visible - particulièrement quant à son visage - de la période 2005-2007, avec notamment pour preuves des photos de son corps canon en bikini blanc du côté d'Ibiza vers 2006 qui ont refait surface il y a peu, sa toute dernière apparition officielle avant de reparaître dans une robe de mariée nimbée du plus grand mystère a marqué les esprits par l'image d'une jeune femme parfaitement élancée sous son parapluie gigantesque, au summum de sa beauté.
Sa dernière sortie à la rencontre du public, avant ce déplacement dans le Lancashire (nord de l'Angleterre) du lundi 11 avril, datait d'un peu plus d'un mois, lorsqu'elle avait accompagné le prince de son coeur à Belfast, pour une visite dont elle a eu tôt fait d'éclipser les tensions en faisant sauter quelques crêpes pour la Chandeleur. De toute évidence, depuis, elle a arrêté les crêpes.
A l'occasion de sa visite dans la région de Blackburn with Darwen, marquée en début de journée par l'inauguration d'une école libre de frais d'inscription (Aldridge Community Academy), puis par la visite d'un centre sportif (Witton Country Park) dans l'après-midi, Kate Middleton a confié à son tour, comme William, sa nervosité : "Bien sûr que je suis nerveuse !", s'est-elle exclamé en réponse à la question d'une curieuse dans le public, dans un de ces élans qui n'appartiennent qu'à elle. Après avoir donné le départ d'un 100 m, agitant gracieusement un fanion blanc, la charmante Kate s'est vu proposer une part de gâteau, une spécialité locale à la confiture de framboise que le fiancé prépare traditionnellement pour sa future épouse. On imagine qu'elle n'a pas poussé le vice de la minceur jusqu'à refuser la pâtisserie. Et elle a pu se repaître de la tendresse du prince William, qui, profitant d'une remise de prix, a déclaré : "Je sais la chance que j'ai. J'ai le soutien de ma famille et mes amis, je fais un métier que j'aime... et j'ai Catherine."
Outre l'évolution de sa silhouette au cours des dernières années (à observer au fil des photos que nous vous proposons), on retiendra la visite de Kate Middleton dans le Lancashire comme une démonstration éclatante de plus de l'élevation stylistique de la future princesse et possiblement future reine, qui la rapproche de Lady Di (laquelle avait elle-même perdu du poids avant son mariage avec le prince Charles en 1981) ou Jackie Onassis, deux références historiques en matière de glamour gothaesque.