On sait enfin ce qui se cachait derrière l'immense éclat de rire qui illuminait le visage de Kate Middleton lors de son passage à la Bourse de Londres, cette semaine.
La duchesse de Cambridge, accompagnée de son époux le prince William, s'était montrée particulièrement joviale tandis qu'elle prenait part à la vingt-troisième Journée annuelle de charité - aussi connue sous le nom de Fancy Dress Charity Day -, organisée dans les locaux d'Icap en faveur de l'une des 200 associations soutenues par la compagnie de courtage.
Le site E! Online révèle aujourd'hui la raison du fou rire de la princesse, qui s'est esclaffée après une boutade de son amoureux faussement jaloux des personnes avec lesquelles elle discutait au téléphone, un peu trop longuement à son goût. "Catherine, je pense que tu peux arrêter de flirter avec eux maintenant ! Je suis désolé, mais ma femme me met dans l'embarras !", plaisantait-il, taquin.
Quatre ans après leur mariage, la complicité des deux amoureux n'a visiblement pas pris une seule ride et c'est toujours aussi soudés qu'ils se sont ensuite rendus à une réception diplomatique donnée au palais de Buckingham, arborant l'une des tiares préférées de la regrettée Lady Di, alias Diana Spencer, mère de son mari et ex-femme du Prince de Galles. C'est la première fois que la maman de George (2 ans) et Charlotte (7 mois) arbore cet accessoire, surnommé "le noeud des amoureux", qui était l'un des cadeaux de mariage de la reine Elisabeth II à la princesse Diana. Un bel hommage !
Le lendemain, la princesse rendait visite à des anciens toxicomanes devenus étudiants dans un centre d'action contre l'addiction de Warminster. Sublime dans une robe signée Emilia Wickstead, Catherine, qui parraine le centre depuis trois ans, s'est montrée particulièrement aimable, d'après une source anonyme qui s'est confiée au magazine People. "Elle est adorable, gentille et particulièrement chaleureuse. C'est vraiment une des personnes qui m'inspirent le plus. Elle témoigne de tant d'empathie", rapporte le magazine américain. On n'en doutait pas une seconde.
Coline Chavaroche