Koh-Lanta : Sommeil perturbé, prise de poids... Le dur retour des candidats

Après avoir révélé leurs astuces (parfois inavouables) pour rester propres et les problèmes fondamentaux rencontrés par les femmes lors de l'aventure Koh-Lanta, les candidats ont dévoilé au magazine Télé Poche comment ils géraient leur retour à la réalité et tout n'est pas simple.

C'est la faim qui hante le plus les Survivors. Les plus méritants pouvant rester jusqu'à 40 jours sur l'île déserte. Alors quand la chasse, la pêche et la cueillette n'est plus nécessaire pour s'alimenter, les aventuriers se laissent un peu aller, parfois trop comme le révèle Jessica, candidate de l'édition 2015 de Koh-Lanta : "Quand on assèche son corps, il devient comme une éponge. On gonfle."

Romain qui a perdu 15 kilos lors de sa participation au programme diffusé cette année en a donc repris 21 avant de rentrer à Paris ! Pas étonnant que le médecin présent sur place conseille de faire du sport afin de se muscler rapidement. Passer de la disette à la possibilité de se nourrir normalement a d'autres effets secondaires. C'est pourquoi les candidats prennent des médicaments contre les brûlures d'estomac, confie encore Romain...

Les aventuriers ont également beaucoup de mal à retrouver le sommeil. "Je dormais 4 heures par nuit et je ne supportais pas mon lit. Il me fallait dormir par terre", continue le candidat. Même chose pour Wendy qui lâche à son tour : "J'ai dû me forcer à dormir assise et pas au sol puis sur mon canapé car il était dur." Dans Télé Star, elle ajoute : "Je dormais de façon hachée et, surtout, j'avais l'impression que le plafond allait me tomber dessus."

Et la libido ? Si on sait déjà qu'elle était en berne durant leur séjour sur l'île déserte, elle ne revient pas par magie du jour au lendemain une fois le tournage terminé. Romain, décidément enclin à la confidence, explique que "ça met trois ou quatre mois à redevenir normal".

Enfin, pour Chantal, candidate qui a échappé à l'amputation, et Wendy, le retour à la civilisation a été vécu comme un choc. "La réalité est une baffe", déclare la première, tandis que la seconde explique avoir eu beaucoup de mal avec "le bruit des voitures et la foule dans les premières semaines".