S'il y a bien une chose pour laquelle Kristen Stewart commence à se faire connaître, c'est son franc-parler et sa familiarité. L'actrice en fait une fois de plus la démonstration dans une interview accordée au magazine Vanity Fair.
Nouvelle chouchoute des magazines de mode, Kristen Stewart pose en couverture du Vanity Fair de juillet 2012, photographiée par Mario Testino et habillée par Jessica Diehl. Le shooting, placé sous le signe de la haute couture, a eu lieu à Paris, une ville dans laquelle elle n'a pas fait grand chose si ce n'est "être enfermée dans une chambre d'hôtel et faire des interviews sur des films." La star de Blanche-Neige et le chasseur, 22 ans, ravie de pouvoir "sortir, sentir l'histoire et l'immortaliser", a même eu la chance d'avoir Karl Lagerfeld a ses côtés sur plusieurs clichés.
Plus ravissante encore que dans le magazine Interview, Kristen Stewart, habillée en Christian Dior, Givenchy, Armani Privé ou Giambattista Valli, se lâche une fois de plus dans les colonnes. A l'ordre du jour, les critiques dont elle fait l'objet quant à sa photogénie et son allure sur tapis rouge, son manque d'entrain ayant fait les choux gras de la presse : "J'en ai rien à foutre de ces c******* voraces et affamés qui veulent transformer la vérité en connerie (sic)."
Aujourd'hui, la modosphère la prend au sérieux. Et pourtant, la star révélée parTwilight confie qu'elle y était totalement étrangère à l'époque : "Regardez mes photos quand j'avais 15 ans. Je suis un garçon. Je portais les vêtements de mon frère, mec ! Ce n'est pas que je m'en préoccupais, mais je me souviens qu'on se moquait de moi parce que je n'avais pas de jeans Juicy. Je n'y pensais même pas..." Aujourd'hui, Kristen Stewart aime porter "des trucs cool", en parallèle des pièces hors de prix des créateurs les plus plébiscités.
Pour que tout soit clair, Kristen Stewart fait ce qu'elle veut. Et même un joli moment de solitude lors des MTV Movie Awards ne l'atteint pas. Si elle joue les fragiles et frêles jeunes filles à l'écran, sachez qu'il n'en est rien dans la réalité, loin de là...
I.N.