Il est grand temps de tourner cette page de l'histoire. En avril 2022, Laeticia Hallyday va céder les clés de la demeure qu'elle avait partagé, pendant si longtemps, avec son grand amour Johnny Hallyday. Leur maison située à Marnes-la-Coquette, dans les Hauts-de-Seine, baptisée La Savannah, avait été le théâtre de bien des évènements. Certains joyeux, d'autres moins. Le couple avait élevé, entre ces quatre murs, acquis en 1999, Jade et Joy, avant de s'installer progressivement à Los Angeles en Amérique. Mais les pièces de cette bâtisse sont chargées d'émotion. C'est là que le Taulier a poussé son dernier souffle, le 5 décembre 2017...
Johnny Hallyday était devenu propriétaire de La Savannah en déversant la somme de 5 millions d'euros. Il avait largement profité de ses 900m2 de bonheur, de ses six chambres à coucher, de sa salle de sport, de sa salle de cinéma et de sa large piscine. Mais le marché de l'immobilier grimpe de mois en mois, et la valeur de la propriété avec. Après avoir tenté de vendre le domaine en 2010 avec son époux, Laeticia Hallyday l'a remis en vente au prix de 15 millions et a trouvé acheteur pour plus ou moins 10 millions, selon les informations du magazine Closer. Voilà qui complète le compte en banque de la jeune veuve, qui a également vendu sa villa de Los Angeles en septembre 2020, pour 15 millions d'euros, et qui a bien besoin de cet argent pour éponger les dettes laissées par Johnny au fisc français.
Il est désormais l'heure de faire ses bagages. Laeticia Hallyday doit vider La Savannah avant le mois de mai prochain. Mais avant de dire définitivement "adieu" à sa maison, la compagne de Jalil Lespert va y tourner quelques scènes pour un documentaire consacré à la vie de Johnny Hallyday. Certaines affaires du rockeur vont d'ailleurs partir dans un garde-meuble et Laeticia a aussi prévu de réunir certaines de ces possessions et de créer une exposition itinérante qui va parcourir de nombreux kilomètres. Elle sera d'abord visible en Belgique, à Bruxelles pendant six mois, puis tournera dans les grandes villes françaises pendant cinq ans.