Laurent Blanc est le nouveau sélectionneur de l'équipe de France de football, à compter de ce vendredi 2 juillet.© Abaca
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Le 16 mai dernier, c'est par un communiqué de presse adressé par le Football Club des Girondins de Bordeaux (FCGB) que l'on apprenait le départ de Laurent Blanc en tant qu'entraîneur de l'équipe qui, après avoir connu la gloire avec un titre de champion de France en 2009, a connu une sacrée déroute en Ligue 1 cette année.
Et s'il a quitté le club, ce n'est pas pour moins bien, et le communiqué était formel à ce sujet : "Le FC Girondins de Bordeaux vient d'être informé par son entraîneur Laurent Blanc qu'il souhaitait répondre favorablement à la sollicitation de la FFF en qualité de sélectionneur de l'Equipe de France". Il devait donc succéder à Raymond Domenech à l'issue d'une coupe du monde humiliante pour les Bleus, dont certains sont associés à une affaire de moeurs dont ils se seraient bien passés, et d'autres à un mouvement de révolte qui n'a fait qu'entacher un peu plus leur réputation.
Après de vives critiques quant à cette possible nomination de Laurent Blanc en qualité de sélectionneur de l'équipe de France, notamment à cause de son salaire (il devrait toucher 100 000 euros par mois quand Raymond Domenech percevait 46 600 euros), cette décision de la Fédération Française de Football (FFF) a été confirmée par cette dernière, ce matin, en conférence de presse.
C'est Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF qui posait sa démission lundi 28 juin, qui l'a annoncé il y a quelques minutes à peine : "C'est la bonne nouvelle de la matinée, la Fédération Française de Football et l'équipe de France continuent, avec Laurent Blanc, qui aura un projet sportif extrêmement pugnace avec comme volonté la gagne pour remettre l'équipe de France sur les rails aux points de vue sportif et moral", a-t-il déclaré devant la presse. Une nomination synonyme, on l'espère, d'un renouveau dans l'équipe de France de football.
Ajoutons, enfin, qu'il a été décidé, lors du conseil fédéral de la FFF de ce matin, qu'un successeur intérimaire à Jean-Pierre Escalettes serait désigné le 23 juillet prochain, dans l'attente d'une élection dans les règles de l'art, prévue pour le mois de septembre.
JO
Et s'il a quitté le club, ce n'est pas pour moins bien, et le communiqué était formel à ce sujet : "Le FC Girondins de Bordeaux vient d'être informé par son entraîneur Laurent Blanc qu'il souhaitait répondre favorablement à la sollicitation de la FFF en qualité de sélectionneur de l'Equipe de France". Il devait donc succéder à Raymond Domenech à l'issue d'une coupe du monde humiliante pour les Bleus, dont certains sont associés à une affaire de moeurs dont ils se seraient bien passés, et d'autres à un mouvement de révolte qui n'a fait qu'entacher un peu plus leur réputation.
Après de vives critiques quant à cette possible nomination de Laurent Blanc en qualité de sélectionneur de l'équipe de France, notamment à cause de son salaire (il devrait toucher 100 000 euros par mois quand Raymond Domenech percevait 46 600 euros), cette décision de la Fédération Française de Football (FFF) a été confirmée par cette dernière, ce matin, en conférence de presse.
C'est Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF qui posait sa démission lundi 28 juin, qui l'a annoncé il y a quelques minutes à peine : "C'est la bonne nouvelle de la matinée, la Fédération Française de Football et l'équipe de France continuent, avec Laurent Blanc, qui aura un projet sportif extrêmement pugnace avec comme volonté la gagne pour remettre l'équipe de France sur les rails aux points de vue sportif et moral", a-t-il déclaré devant la presse. Une nomination synonyme, on l'espère, d'un renouveau dans l'équipe de France de football.
Ajoutons, enfin, qu'il a été décidé, lors du conseil fédéral de la FFF de ce matin, qu'un successeur intérimaire à Jean-Pierre Escalettes serait désigné le 23 juillet prochain, dans l'attente d'une élection dans les règles de l'art, prévue pour le mois de septembre.
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